Pas de vol pour le Maroc jusqu’au 1er février 2022. La compagnie Ryanair a annoncé sa décision et expliqué clairement que c’était à cause des positions du pouvoir. Pour justifier ce choix drastique la société a expliqué le faire « en raison du manque de clarté du gouvernement marocain concernant son interdiction de voll ». « La compagnie low-cost, à l'instar des autres compagnies aériennes, est dans l'expectative depuis la décision de suspensions de tous les vols à destination et en provenance du Maroc du 29 novembre au 13 décembre. Les compagnies attendent des éclaircissements de la part des autorités marocaines quant à ce qui se passera après leur décision de mi-décembre. «Les annulations de vols obligatoires ont touché 160 000 clients de Ryanair à ce jour et, en raison de l'incertitude persistante, Ryanair a été contraint d'annuler tous ses vols marocains prévus jusqu'au 1er février 2022, laissant 230 000 passagers supplémentaires confrontés à des perturbations de leurs plans de voyage.» » rapporte le site Yabiladi.
Cette situation est assez caractéristique des pouvoirs publics face à l’épidémie et aux variant successifs. Cherchant à se montrer réactif et exigeant, ce sont eux qui déclenchent une situation d’incertitude économique sans que l’on sache encore quels seront les véritables conséquences de la généralisation d’un nouveau pic qu’aucun pays n’a jamais réussi à éviter. « Pour commenter cette décision, Jason McGuinness, directeur commercial de Ryanair, a déclaré regretter «profondément les perturbations inutiles subies par [les] passagers du fait de l'annulation de ces vols vers le Maroc jusqu'au 1er février 2022, en raison du manque de clarté des autorités marocaines sur ce à quoi s’attendre, au-delà de leur décision initiale d'interdiction de voyage jusqu’au 13 décembre». Un tacle direct sur la gestion du secteur aérien par le Maroc » continue le site d’infos. Montrant bien que ce n’est pas le regain épidémique mais bien la position du gouvernement local qui est à l’origine de la situation.
Cette situation est assez caractéristique des pouvoirs publics face à l’épidémie et aux variant successifs. Cherchant à se montrer réactif et exigeant, ce sont eux qui déclenchent une situation d’incertitude économique sans que l’on sache encore quels seront les véritables conséquences de la généralisation d’un nouveau pic qu’aucun pays n’a jamais réussi à éviter. « Pour commenter cette décision, Jason McGuinness, directeur commercial de Ryanair, a déclaré regretter «profondément les perturbations inutiles subies par [les] passagers du fait de l'annulation de ces vols vers le Maroc jusqu'au 1er février 2022, en raison du manque de clarté des autorités marocaines sur ce à quoi s’attendre, au-delà de leur décision initiale d'interdiction de voyage jusqu’au 13 décembre». Un tacle direct sur la gestion du secteur aérien par le Maroc » continue le site d’infos. Montrant bien que ce n’est pas le regain épidémique mais bien la position du gouvernement local qui est à l’origine de la situation.