Quand une femme est à la tête d’une entreprise, on la voit partout et on n’entend parler que d’elle. C’est mauvais signe, enfin du moins c’est signe que c’est suffisamment exceptionnel pour être remarqué. Les mêmes noms reviennent tout le temps et au sein du CAC 40 il n’y a guère que Isabel Kocher qui représente la gente féminine. Ces femmes sont rares donc et « on croit savoir que leur accession n’a pas été facile et qu’elles doivent en permanence défendre leur légitimité » explique un édito publié sur le site Atlantico.
« En fait, la parité en France est désormais à peu près respectée dans l’administration française, à l’Assemblée nationale, dans les collectivités locales, au gouvernement. La loi s’est imposée. Seule exception dans la sphère politique, le Sénat qui reste une assemblée d’homme » continue l’article qui montre que dans le milieu des affaires et particulièrement des hauts dirigeants, la France est en retard dans le domaine.
En effet, si la loi qui impose 40% de femmes dans les conseils d’administration est globalement respectée, ce n’est qu’un mirage. « On avait promis aux femmes qu’une femme serait présidente d’une Assemblée nationale, bien féminisée, et cela ne s’est pas produit. Dans l’entreprise aussi, il y a des fonctions d’où les femmes restent écartées, ce sont les postes de directions opérationnelles. Les Comex sont très masculins, et les CEO sont rarement des femmes. Le cabinet de recrutement Headrick and Struggle affirme qu’aujourd’hui, moins de 2% des dirigeants des grandes entreprises cotées au SBF 120 (le Cac 40 élargi à 120) sont des dirigeantes. Elles sont plus nombreuses aux Etats-Unis, près de 10% et 6% en Grande-Bretagne comme en Allemagne compte tenu du nombre des ETI d’origine familiale où les héritières accèdent au pouvoir » explique l’article.
« En fait, la parité en France est désormais à peu près respectée dans l’administration française, à l’Assemblée nationale, dans les collectivités locales, au gouvernement. La loi s’est imposée. Seule exception dans la sphère politique, le Sénat qui reste une assemblée d’homme » continue l’article qui montre que dans le milieu des affaires et particulièrement des hauts dirigeants, la France est en retard dans le domaine.
En effet, si la loi qui impose 40% de femmes dans les conseils d’administration est globalement respectée, ce n’est qu’un mirage. « On avait promis aux femmes qu’une femme serait présidente d’une Assemblée nationale, bien féminisée, et cela ne s’est pas produit. Dans l’entreprise aussi, il y a des fonctions d’où les femmes restent écartées, ce sont les postes de directions opérationnelles. Les Comex sont très masculins, et les CEO sont rarement des femmes. Le cabinet de recrutement Headrick and Struggle affirme qu’aujourd’hui, moins de 2% des dirigeants des grandes entreprises cotées au SBF 120 (le Cac 40 élargi à 120) sont des dirigeantes. Elles sont plus nombreuses aux Etats-Unis, près de 10% et 6% en Grande-Bretagne comme en Allemagne compte tenu du nombre des ETI d’origine familiale où les héritières accèdent au pouvoir » explique l’article.