Ce n’est pas le fruit d’une étude ou de meilleures connaissances de la maladie mais plutôt de la pyramide des accès au vaccin anti Covid-19. Depuis début avril, les femmes enceintes qui sont entrées dans le deuxièmes trimestre de grossesse - à partir de 14 semaines – sont éligibles. « Si les différents vaccins disponibles contre le Covid-19 n’ont, pour l’instant, pas fait l’objet d’essais cliniques sur les femmes enceintes, de nombreux pays estiment que la balance bénéfice/risque penche en faveur de la vaccination. La grossesse expose en effet à un risque plus élevé de forme grave de Covid-19, avec passage en réanimation, accouchement prématuré et césarienne d’urgence. Du côté des risques éventuels posés par la vaccination, on sait déjà que les vaccins à ARN messager (Pfizer-BioNTech et Moderna) ne sont pas à l’origine de malformations fœtales chez les animaux » nous apprend Madmoizelle.com.
« Environ 30.000 femmes enceintes ont déjà reçu une injection aux États-Unis avec ce type de vaccins, sans que des effets particuliers sur les fœtus ou les mères soient remontés, même si la majorité des personnes vaccinées n’ont pas encore accouché. La Belgique a inclus les personnes enceintes dans les publics prioritaires pour la vaccination contre le Covid-19 depuis fin février. Et la France a donc pris la même décision que sa voisine au début du mois d’avril. Les personnes qui sont dans leur deuxième ou troisième trimestre de grossesse peuvent dès à présent être vaccinées avec un vaccin à ARN messager, Pfizer-BioNTech ou Moderna, mais pas avec les vaccins Astra-Zeneca, réservés aux plus de 55 ans » continue le site féminin.
Puisqu’il s’agit des vaccins ARN messager, ils ne peuvent être administrés qu’en centre de vaccination. Avec des rendez-vous à prendre sur les plateformes dédiées, rappelle l’article qui liste les outils en ligne disponible. Sans préciser si le fait d’être vacciné change quelque chose pour le port du masque en salle d’accouchement. Ce qui serait un argument de taille pour motiver les plus récalcitrantes.
« Environ 30.000 femmes enceintes ont déjà reçu une injection aux États-Unis avec ce type de vaccins, sans que des effets particuliers sur les fœtus ou les mères soient remontés, même si la majorité des personnes vaccinées n’ont pas encore accouché. La Belgique a inclus les personnes enceintes dans les publics prioritaires pour la vaccination contre le Covid-19 depuis fin février. Et la France a donc pris la même décision que sa voisine au début du mois d’avril. Les personnes qui sont dans leur deuxième ou troisième trimestre de grossesse peuvent dès à présent être vaccinées avec un vaccin à ARN messager, Pfizer-BioNTech ou Moderna, mais pas avec les vaccins Astra-Zeneca, réservés aux plus de 55 ans » continue le site féminin.
Puisqu’il s’agit des vaccins ARN messager, ils ne peuvent être administrés qu’en centre de vaccination. Avec des rendez-vous à prendre sur les plateformes dédiées, rappelle l’article qui liste les outils en ligne disponible. Sans préciser si le fait d’être vacciné change quelque chose pour le port du masque en salle d’accouchement. Ce qui serait un argument de taille pour motiver les plus récalcitrantes.