Si le premier film kaamelott est un succès au cinéma, ce sera une véritable prouesse. Car ce film tant attendu par les fans depuis des années a été plusieurs fois repoussé et sort finalement au moment où le passe sanitaire s’impose. « On s’attendait à une file d’attente de fans en furie, se remémorant les meilleures vannes de la série Kaamelott pour patienter jusqu’à la salle où ils allaient découvrir le tant attendu premier opus concocté par Alexandre Astier. Mais rien de tout cela ce mercredi matin, les clients du Mégarama de la rive droite bordelaise arrivent au compte-goutte. En revanche, les avant-premières du film Kaamelott ont cartonné la veille, date à laquelle le pass sanitaire n’était pas encore entré en vigueur pour les activités de loisirs et de culture accueillant plus de 50 personnes » relève 20 Minutes .
Le quotidien gratuit rapporte les expériences des quelques clients qui se sont rendus devant ce cinéma de Bordeaux. L’article n’a pas valeur de sondage ou d’étude statistique mais il montre tout de même les conséquences concrètes des restrictions sanitaires sur les entrées. Et elles sont réelles. Alors que la sortie d’un film événement aurait du susciter des foules, la cohue n’a pas eu lieu. Le directeur du cinéma explique que depuis une semaine les appels se sont multipliés pour avoir des précisions sur les conditions pour pouvoir rentrer. Et sans double dose ou test PCR, l’impossibilité de rentrer en aurait dissuadé plus d’un.
Comble du manque de chance, le passe sanitaire est entré en vigueur exactement le jour de sortie du film et va monter en exigence dans les prochaines semaines. « Certains cinémas ont fait le choix de limiter leurs jauges à 49 pour ne pas imposer de présentation du pass sanitaire. « Ce n’est pas notre optique parce que forcément avec 17 écrans, on a une capacité d’accueil de 3.000 personnes », pointe le directeur du Mégarama. Mais cette semaine a valeur de test et s’il n’accueille pas plus de 50 spectateurs par salle le matin, il pourrait faire autrement la semaine prochaine. Les séances du matin pourraient être accessibles sans pass sanitaire, en limitant chaque salle à 49 places » poursuit 20 Minutes.
Pour les fidèles de la série qui espéraient beaucoup du retour de l’univers, c’est le moment de vérité. Car si le film est présenté comme le premier volet et que Alexandre Astier en a prévu trois, la suite dépendra du succès du premier. Dans un contexte comme celui-ci, il faut croiser les doigts.
Le quotidien gratuit rapporte les expériences des quelques clients qui se sont rendus devant ce cinéma de Bordeaux. L’article n’a pas valeur de sondage ou d’étude statistique mais il montre tout de même les conséquences concrètes des restrictions sanitaires sur les entrées. Et elles sont réelles. Alors que la sortie d’un film événement aurait du susciter des foules, la cohue n’a pas eu lieu. Le directeur du cinéma explique que depuis une semaine les appels se sont multipliés pour avoir des précisions sur les conditions pour pouvoir rentrer. Et sans double dose ou test PCR, l’impossibilité de rentrer en aurait dissuadé plus d’un.
Comble du manque de chance, le passe sanitaire est entré en vigueur exactement le jour de sortie du film et va monter en exigence dans les prochaines semaines. « Certains cinémas ont fait le choix de limiter leurs jauges à 49 pour ne pas imposer de présentation du pass sanitaire. « Ce n’est pas notre optique parce que forcément avec 17 écrans, on a une capacité d’accueil de 3.000 personnes », pointe le directeur du Mégarama. Mais cette semaine a valeur de test et s’il n’accueille pas plus de 50 spectateurs par salle le matin, il pourrait faire autrement la semaine prochaine. Les séances du matin pourraient être accessibles sans pass sanitaire, en limitant chaque salle à 49 places » poursuit 20 Minutes.
Pour les fidèles de la série qui espéraient beaucoup du retour de l’univers, c’est le moment de vérité. Car si le film est présenté comme le premier volet et que Alexandre Astier en a prévu trois, la suite dépendra du succès du premier. Dans un contexte comme celui-ci, il faut croiser les doigts.