Sanna Marin est le chef d’Etat le plus jeune du monde. La Finlande vient d’élire cette ancienne ministre des Transports de 34 ans Premier ministre du pays. « Sanna Marin a remporté l’élection de dimanche de justesse face au dirigeant sortant Antti Rinne, qui avait démissionné mardi après avoir perdu la confiance du parti du Centre, partenaire au sein de la coalition au pouvoir, à cause de sa gestion d’une grève postale » rapporte Le Huffington Post . Feignant d’ignorer qu’être une femme de son âge a largement contribué à son succès. « Nous avons beaucoup de travail à faire pour rétablir la confiance (…) Je n’ai jamais pensé à mon âge ou à mon genre, je pense aux raisons pour lesquelles je me suis engagée en politique et ces choses grâce auxquelles nous avons gagné la confiance de l’électorat » a-t-elle déclaré. Sanna marin prendra officiellement la tête du pays mardi 10 décembre en prêtant serment devant le parlement finlandais.
A un an près, elle devient le chef d’Etat le plus jeune. Avant-hier, c’était en effet le Premier ministre ukrainien Oleksiï Gontcharouk, 35 ans, qui était le plus jeune. « Le parti social-démocrate (SDP), première formation du Parlement, avait remporté des élections législatives en avril sur des promesses de mettre fin à des années d’austérité conduites sous la houlette du Centre pour sortir la Finlande de la récession. Antti Rinne s’est retiré après plusieurs semaines de crise politique liée à un projet de baisse des salaires de 700 salariés de la Poste finlandaise. La Poste a finalement retiré son projet en novembre après des grèves très suivies, même dans d’autres secteurs économiques. Mais les syndicats ont alors exigé de savoir si l’État actionnaire avait approuvé le plan » contextualise Le Huffington Post. Sans parvenir à s’expliquer sur ce point, le parti du Centre a soutenu Sanna Marin et joué les arbitres de l’élection.
A un an près, elle devient le chef d’Etat le plus jeune. Avant-hier, c’était en effet le Premier ministre ukrainien Oleksiï Gontcharouk, 35 ans, qui était le plus jeune. « Le parti social-démocrate (SDP), première formation du Parlement, avait remporté des élections législatives en avril sur des promesses de mettre fin à des années d’austérité conduites sous la houlette du Centre pour sortir la Finlande de la récession. Antti Rinne s’est retiré après plusieurs semaines de crise politique liée à un projet de baisse des salaires de 700 salariés de la Poste finlandaise. La Poste a finalement retiré son projet en novembre après des grèves très suivies, même dans d’autres secteurs économiques. Mais les syndicats ont alors exigé de savoir si l’État actionnaire avait approuvé le plan » contextualise Le Huffington Post. Sans parvenir à s’expliquer sur ce point, le parti du Centre a soutenu Sanna Marin et joué les arbitres de l’élection.