Si l’on vous propose de choisir le prix, vous n’allez surement pas décider de payer trop. La stratégie est audacieuse pour les commerçants qui sont d’habitude plus à la recherche de moyens de prévoir leurs marges et de l’augmenter. Pourtant depuis quelques années, de plus en plus d’enseignes proposent aux consommateurs de fixer le prix de ce qu’ils achètent.
Evidemment il ne s’agit pas d’un dérapage incontrôlé et les vendeurs savent ce qu’ils font. « Garçonne & Chérubin, un e-commerçant de chaussures qui a lancé dès le début des soldes une opération «Choose what you pay». Autrement dit, payez ce que vous voulez. Ainsi les internautes peuvent décider de la juste valeur des articles qu'ils achètent sur le site. Comment ? En misant sur un prix. Simultanément, les autres chalands proposent leur prix. Impossible de savoir quelle est leur mise. Il s'agit d'attendre la fin de la semaine pour savoir si, oui ou non, la proposition a été validée par la marque » raconte Le Figaro.
D’autres marques préfèrent donner le choix aux consommateurs entre plusieurs prix. « Au client de choisir le prix en prenant en compte trois critères : le premier prix couvre uniquement les coûts de production, le deuxième ceux de production et ceux de logistique, et le prix le plus élevé permet à Maison Standards de générer des bénéfices. Le but de ce concept ? Sensibiliser les consommateurs au prix juste » rapporte le journal. Le problème c’est qu’il ne s’agit pas d’œuvres caritatives et les acheteurs cherchent donc logiquement à faire une affaire. L’objectif reste donc avant tout marketing avec un bon moyen de faire parler de sa marque avec une approche plus originale que des soldes classiques.
Quand il ne s’agit pas d’internet et que le consommateur a affaire à du personnel et qu’il doit régler la facture face à un employé les choses sont tout autre « En 2010, la chaîne d'hôtel Best Western avait aussi proposé au client de payer ce qu'il voulait. En moyenne, les clients payaient 60% du prix normal d'une chambre. Le trafic de la chaîne avait augmenté d'un tiers pendant le mois de l'opération » continue Le Figaro.
Evidemment il ne s’agit pas d’un dérapage incontrôlé et les vendeurs savent ce qu’ils font. « Garçonne & Chérubin, un e-commerçant de chaussures qui a lancé dès le début des soldes une opération «Choose what you pay». Autrement dit, payez ce que vous voulez. Ainsi les internautes peuvent décider de la juste valeur des articles qu'ils achètent sur le site. Comment ? En misant sur un prix. Simultanément, les autres chalands proposent leur prix. Impossible de savoir quelle est leur mise. Il s'agit d'attendre la fin de la semaine pour savoir si, oui ou non, la proposition a été validée par la marque » raconte Le Figaro.
D’autres marques préfèrent donner le choix aux consommateurs entre plusieurs prix. « Au client de choisir le prix en prenant en compte trois critères : le premier prix couvre uniquement les coûts de production, le deuxième ceux de production et ceux de logistique, et le prix le plus élevé permet à Maison Standards de générer des bénéfices. Le but de ce concept ? Sensibiliser les consommateurs au prix juste » rapporte le journal. Le problème c’est qu’il ne s’agit pas d’œuvres caritatives et les acheteurs cherchent donc logiquement à faire une affaire. L’objectif reste donc avant tout marketing avec un bon moyen de faire parler de sa marque avec une approche plus originale que des soldes classiques.
Quand il ne s’agit pas d’internet et que le consommateur a affaire à du personnel et qu’il doit régler la facture face à un employé les choses sont tout autre « En 2010, la chaîne d'hôtel Best Western avait aussi proposé au client de payer ce qu'il voulait. En moyenne, les clients payaient 60% du prix normal d'une chambre. Le trafic de la chaîne avait augmenté d'un tiers pendant le mois de l'opération » continue Le Figaro.