Elon Musk a beau être traité de fou, le milliardaire vient de conclure le premier contrat de voyage touristique autour de la Lune. Les deux touristes se sont engagés pour une expédition prévue fin 2018. « Pour cette épopée d’environ une semaine, qui devrait les emmener autour de notre satellite et au-delà dans « l’espace lointain », où l’homme ne s’est pas aventuré depuis près de 50 ans, les deux intrépides (leurs noms n’ont pas été révélés) devront subir une préparation rigoureuse » raconte 20 Minutes.
Space X, la société qui gère le développement de ces programmes, a expliqué que les deux candidats devront passer de nombreuses étapes, test et examens de santé avant d’être déclaré apte pour cette expédition. « Ces touristes de l’espace ont aussi dû verser « un acompte conséquent », toujours selon SpaceX. Si aucun chiffre n’a été fourni par Elon Musk, celui-ci a estimé que le coût du voyage serait « comparable » ou légèrement supérieur à celui d’une mission habitée vers la Station spatiale internationale. A chaque aller-retour à bord d’un vaisseau Soyouz, la Nasa paie à l’agence spatiale russe Roscosmos jusqu’à 80 millions de dollars (75 millions d’euros) » poursuit le journal gratuit. Des expéditions de préparation et de test des vaisseaux seront réalisés dans l’année par la société du milliardaire. Aussi fantasque soit-il, Elon Musk est sur le point de démontrer aux plus sceptiques qu’il est bien le pionnier du tourisme spatial. Une activité qui ne pourra être réservée qu’à une très infime minorité de personnes très fortunées. Plus qu’un caprice de milliardaire, les avancées de SpaceX et expérimentations permettent aussi de repousser les limites de la technologie dans le domaine spatiale.
« Dragon 2 (le vaisseau qui emmenera les deux touristes l’année prochaine ndlr) sera lancée par la version lourde de la fusée Falcon 9 de SpaceX, le « Falcon Heavy » qui est en développement et dont le premier vol d’essai est programmé pour cet été. Falcon Heavy sera le lanceur le plus puissant à atteindre l’orbite terrestre depuis la fusée Saturn V de la mission Apollo vers la Lune, selon SpaceX » conclue 20 Minutes.
Space X, la société qui gère le développement de ces programmes, a expliqué que les deux candidats devront passer de nombreuses étapes, test et examens de santé avant d’être déclaré apte pour cette expédition. « Ces touristes de l’espace ont aussi dû verser « un acompte conséquent », toujours selon SpaceX. Si aucun chiffre n’a été fourni par Elon Musk, celui-ci a estimé que le coût du voyage serait « comparable » ou légèrement supérieur à celui d’une mission habitée vers la Station spatiale internationale. A chaque aller-retour à bord d’un vaisseau Soyouz, la Nasa paie à l’agence spatiale russe Roscosmos jusqu’à 80 millions de dollars (75 millions d’euros) » poursuit le journal gratuit. Des expéditions de préparation et de test des vaisseaux seront réalisés dans l’année par la société du milliardaire. Aussi fantasque soit-il, Elon Musk est sur le point de démontrer aux plus sceptiques qu’il est bien le pionnier du tourisme spatial. Une activité qui ne pourra être réservée qu’à une très infime minorité de personnes très fortunées. Plus qu’un caprice de milliardaire, les avancées de SpaceX et expérimentations permettent aussi de repousser les limites de la technologie dans le domaine spatiale.
« Dragon 2 (le vaisseau qui emmenera les deux touristes l’année prochaine ndlr) sera lancée par la version lourde de la fusée Falcon 9 de SpaceX, le « Falcon Heavy » qui est en développement et dont le premier vol d’essai est programmé pour cet été. Falcon Heavy sera le lanceur le plus puissant à atteindre l’orbite terrestre depuis la fusée Saturn V de la mission Apollo vers la Lune, selon SpaceX » conclue 20 Minutes.