En 2015, la Commission a adopté une décision par laquelle elle a notamment imposé aux États membres des mesures d'éradication de la Xylella, consistant à enlever immédiatement non seulement les plantes infectées (notamment les oliviers), mais aussi toutes les plantes hôtes - même en l'absence de symptômes d'infection - situées dans un rayon de 100 mètres autour de celles infectées, cela non seulement dans la zone infectée mais aussi dans la zone limitrophe, dite « tampon ».
En 2016, la Cour de justice, saisie d'une demande préjudicielle , a déclaré la validité, au regard du droit de l'Union, de ces mesures d'éradication. La même année, la Xylella étant établie dans certaines parties des Pouilles depuis plus de deux ans, son éradication n'était plus possible.
ar conséquent, la Commission a modifié sa décision en prévoyant exceptionnellement, pour les territoires infectés de manière stable, des mesures d'enrayement à la place des mesures d'éradication. Ces mesures d'enrayement, visant à empêcher la propagation de la Xylella, comprennent la surveillance du territoire concerné ainsi que l'abattage immédiat des seules plantes infectées situées, notamment, dans une bande de la zone infectée ayant une largeur de 20 kilomètres calculés à partir du « bord » externe de la même zone, donc une bande limitrophe de la zone tampon, qui traverse les provinces de Brindisi et de Tarente d'Est en Ouest.
En 2016, la Cour de justice, saisie d'une demande préjudicielle , a déclaré la validité, au regard du droit de l'Union, de ces mesures d'éradication. La même année, la Xylella étant établie dans certaines parties des Pouilles depuis plus de deux ans, son éradication n'était plus possible.
ar conséquent, la Commission a modifié sa décision en prévoyant exceptionnellement, pour les territoires infectés de manière stable, des mesures d'enrayement à la place des mesures d'éradication. Ces mesures d'enrayement, visant à empêcher la propagation de la Xylella, comprennent la surveillance du territoire concerné ainsi que l'abattage immédiat des seules plantes infectées situées, notamment, dans une bande de la zone infectée ayant une largeur de 20 kilomètres calculés à partir du « bord » externe de la même zone, donc une bande limitrophe de la zone tampon, qui traverse les provinces de Brindisi et de Tarente d'Est en Ouest.