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Depuis quelques années les morsures de tiques sont prises au sérieux par les professionnels de santé. Mais aussi par l’Inrae qui a lancé un véritable programme dédié à ce parasite. De la recherche et de l’accompagnement qui gagneront en efficacité si le grand public se prête à l’exerice. « L'Inrae a mis au point un système de recensement des piqûres de tiques afin de mieux comprendre et prévenir le problème. Baptisée « Signalement TIQUE », une application gratuite sur iOS et Android permet de faire de la science participative et de signaler aux chercheurs où vous avez été piqué et de répondre à un petit questionnaire. Enfin, l'application permet de suivre l'évolution d'une piqûre. Il est même possible d'envoyer la tique en question aux experts afin qu'ils procèdent à des analyses. L'idée est d'alimenter la première «tiquothèque» publique nationale. Des kits de collecte sont disponibles sur commande ou auprès de pharmacies partenaires pour les particuliers » rapporte CNews.
Ce travail permettra d’avancer plus vite dans l’évaluation du problème, les informations et préventions. Au printemps l’Inrae a publié une enquête qui confirme une fois de plus le sérieux du sujet. Elle expliquait que les analyses des données disponibles depuis 2016 évoquait un taux de 30% de tiques porteuses d’agents infectieux pour l’homme, dont la maladie de lyme. « En 2019, les autorités sanitaires ont officiellement répertorié 50.133 cas de la maladie de Lyme en France métropolitaine, principalement dans le Grand Est, la Bourgogne-Franche-Comté, l'Auvergne Rhône-Alpes et la Nouvelle Aquitaine. C'est également dans les jardins lors de jeux, de sortie jardinage ou lors de repas en famille que l'on a le plus de probabilités de se faire piquer par une tique » appuie la chaine d’infos en continue. Qui rappelle également l’importance de retirer rapidement le parasite, de s’assurer de ne pas laisser la tête et de ne surtout pas utiliser d’éther pour le retirer.
Ce travail permettra d’avancer plus vite dans l’évaluation du problème, les informations et préventions. Au printemps l’Inrae a publié une enquête qui confirme une fois de plus le sérieux du sujet. Elle expliquait que les analyses des données disponibles depuis 2016 évoquait un taux de 30% de tiques porteuses d’agents infectieux pour l’homme, dont la maladie de lyme. « En 2019, les autorités sanitaires ont officiellement répertorié 50.133 cas de la maladie de Lyme en France métropolitaine, principalement dans le Grand Est, la Bourgogne-Franche-Comté, l'Auvergne Rhône-Alpes et la Nouvelle Aquitaine. C'est également dans les jardins lors de jeux, de sortie jardinage ou lors de repas en famille que l'on a le plus de probabilités de se faire piquer par une tique » appuie la chaine d’infos en continue. Qui rappelle également l’importance de retirer rapidement le parasite, de s’assurer de ne pas laisser la tête et de ne surtout pas utiliser d’éther pour le retirer.
