Comme chaque année, le Festival de musique de Menton est une parenthèse musicale exceptionnelle, qui vient enchanter l'été dans la cité. Du 29 juillet au 13 août, il a déroulé sa partition pour la 68e édition, entre l'esplanade Francis-Palmero et le parvis de la basilique Saint-Michel Archange. Une magie qui opère comme au premier jour.
12 août 1949. André Böröcz, artiste hongrois qui a rejoint Paris après la guerre, est en visite estivale à Menton. Au détour d'une ruelle dans la Vieille-ville, il découvre le parvis Saint-Michel suspendu entre ciel et mer. D'un poste de radio s'échappe le son d'un violon. Le temps se fige, instant parfait. Ce moment, presque légendaire, a été maintes et maintes fois conté et rejoué.
C'est une sorte de tradition : le Festival est annoncé chaque année par un concert de pré-ouverture, en prélude aux trois actes majeurs qui vont le rythmer : le « In » avec les concerts du parvis et du musée, le « Off » et les masterclasses. Pour la 68e édition, ce premier spectacle a été donné sur l'esplanade Francis-Palmero par le quatuor Pagagnini. Un moment délirant, mêlant musique classique et humour décalé.
12 août 1949. André Böröcz, artiste hongrois qui a rejoint Paris après la guerre, est en visite estivale à Menton. Au détour d'une ruelle dans la Vieille-ville, il découvre le parvis Saint-Michel suspendu entre ciel et mer. D'un poste de radio s'échappe le son d'un violon. Le temps se fige, instant parfait. Ce moment, presque légendaire, a été maintes et maintes fois conté et rejoué.
C'est une sorte de tradition : le Festival est annoncé chaque année par un concert de pré-ouverture, en prélude aux trois actes majeurs qui vont le rythmer : le « In » avec les concerts du parvis et du musée, le « Off » et les masterclasses. Pour la 68e édition, ce premier spectacle a été donné sur l'esplanade Francis-Palmero par le quatuor Pagagnini. Un moment délirant, mêlant musique classique et humour décalé.