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Bien-être

Une étude irlandaise affirme qu’avoir une sœur rend heureuse


Clarisse Rosius
Lundi 9 Avril 2018





D’après une étude de l’Université irlandaise d’Ulster, avoir une sœur est un atout considérable dans la vie. Quel que soit le milieu ou la classe sociale, avoir au moins une sœur est un des éléments clés du bonheur de la plupart des personnes interrogées.


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Parfois les études universitaires qui démontrent ce que l’on vit font du bien. Sans forcément découvrir quelque chose, les conclusions des chercheurs mettent des mots et des chiffres sur notre réalité. C’est un peu le cas de cette étude de l’université d’Ulster dans le Nord de l’Irlande sur la richesse qu’apporte la fraternité et particulièrement la figure de sœur.

Six cents personnes entre 17 et 25 ans ont été interrogées pour cette enquête dont les conclusions sont rapportées par le magazine Elle  : « Les résultats sont sans appel : les personnes ayant au moins une soeur dans leur famille sont plus optimistes, plus motivées, ont de meilleures chances de surmonter les difficultés du quotidien et profitent davantage de la vie ». 

La relation de confidences, l’intimité et la confiance en quelqu’un que l’on connait depuis toujours ou presque est un des éléments clé de ce que les personnes interrogées identifient comme source de leur bonheur. « Les soeurs encouragent activement la communication et la cohésion dans une famille. L'expression des sentiments est fondamentale pour une bonne santé psychologique » résume le professeur de psychologie à la tête de l’équipe de chercheurs.

« Les soeurs s'entraident, se soutiennent et surtout elles communiquent entre elles mais aussi avec tous les membres de la famille. En cas de divorce, c'est souvent grâce à une ou plusieurs soeur(s) que la famille parvient à surmonter l'épreuve et rester soudée malgré les tensions » ajoute le magazine féminin qui s’empresse ensuite d’ajouter que pour ceux qui n’ont pas de sœurs, heureusement, rien n’est perdu. « Pas de panique toutefois pour les enfants uniques. La recherche a également montré que les personnes qui n'ont pas de soeurs se trouvent facilement des figures de substitut et savent se faire des amis qui sont très présents dans leur vie. »