Il existera peut-être un jour une encyclopédie mondiale des régimes alimentaires. Elle aurait au moins pour avantage de nous démontrer que dans ce domaine, sont prônés des conseils antagonistes. Voilà une introduction nécessaire avant d’aborder une des modes alimentaires les plus en vogues depuis quelques années : le régime cétogène. Cette alimentation consiste à « placer l’organisme en situation de cétose, c’est-à-dire à utiliser les cétones, au lieu des habituels glucides, comme source énergétique. La cétose peut aussi être atteinte par le jeûne. Le régime cétogène consiste à limiter fortement les apports en glucides (moins de 50 grammes par jour) et à augmenter les apports en graisses, en gardant constants les apports protéiques » résume Futura Sciences.
Les céréales, sucres, pains et pâtes sont ainsi – entre autres proscrits – quand les produits laitiers, protéines et légumes sans amidon sont autorisés. « Les adeptes du régime cétogène le choisissent souvent dans l’objectif de pour perdre du poids et d’éviter les fringales. Le régime est aussi intéressant pour les personnes qui veulent limiter leurs apports en glucides. Cependant, il existe aussi un risque de constipation et de déficit en vitamines et minéraux, car certains fruits et légumes trop riches en glucides sont limités voire exclus : pomme, poire, raisin, carotte, oignon... Discutez avec votre médecin si vous voulez suivre un régime cétogène » nuance le site.
Car en effet, le régime cétogène qui était recommandé pour les épileptiques peut avoir des effets positifs mais doit être appréhendée comme un régime adapté et non une forme d’alimentation alternative pour des raisons esthétiques. « Le régime cétogène est connu de longue date pour le traitement de l’épilepsie. En effet, depuis l’Antiquité, on sait que le jeûne permet de diminuer la fréquence des crises d’épilepsie. Le régime cétogène imaginé pour les épileptiques en 1921 visait à imiter les effets du jeûne. Il a fait son retour dans les années 1990 et suscite désormais l’intérêt pour d’autres pathologies comme le diabète, la maladie d’Alzheimer, Parkinson et le cancer. Par exemple, dans une petite étude de 2017, des personnes en surpoids et à risque de diabète ont suivi une diète cétogène pendant un an ; elles ont perdu en moyenne 7,9 kg, réduit leur consommation de médicaments et leur glycémie s’est améliorée » rappelle Futura Science. A contrario, changer de régime alimentaire de manière drastique peut poser de nombreux soucis et même provoquer le développement de la « grippe cétogène ».
Les céréales, sucres, pains et pâtes sont ainsi – entre autres proscrits – quand les produits laitiers, protéines et légumes sans amidon sont autorisés. « Les adeptes du régime cétogène le choisissent souvent dans l’objectif de pour perdre du poids et d’éviter les fringales. Le régime est aussi intéressant pour les personnes qui veulent limiter leurs apports en glucides. Cependant, il existe aussi un risque de constipation et de déficit en vitamines et minéraux, car certains fruits et légumes trop riches en glucides sont limités voire exclus : pomme, poire, raisin, carotte, oignon... Discutez avec votre médecin si vous voulez suivre un régime cétogène » nuance le site.
Car en effet, le régime cétogène qui était recommandé pour les épileptiques peut avoir des effets positifs mais doit être appréhendée comme un régime adapté et non une forme d’alimentation alternative pour des raisons esthétiques. « Le régime cétogène est connu de longue date pour le traitement de l’épilepsie. En effet, depuis l’Antiquité, on sait que le jeûne permet de diminuer la fréquence des crises d’épilepsie. Le régime cétogène imaginé pour les épileptiques en 1921 visait à imiter les effets du jeûne. Il a fait son retour dans les années 1990 et suscite désormais l’intérêt pour d’autres pathologies comme le diabète, la maladie d’Alzheimer, Parkinson et le cancer. Par exemple, dans une petite étude de 2017, des personnes en surpoids et à risque de diabète ont suivi une diète cétogène pendant un an ; elles ont perdu en moyenne 7,9 kg, réduit leur consommation de médicaments et leur glycémie s’est améliorée » rappelle Futura Science. A contrario, changer de régime alimentaire de manière drastique peut poser de nombreux soucis et même provoquer le développement de la « grippe cétogène ».