Vingt-huit marques ne feront plus de pubs en surfant sur le sexisme. Vingt-huit c’est long à citer mais ça vaut quand même le coup de le faire : Bel, BNP Paribas, Citeo, Citroën, Coca-Cola, Danone, DS, EDF, Ferrero, Galeries Lafayette, Lesieur, L'Oréal, Mars, Michelin, Nespresso, Nestlé, Opel, Orange, Orangina, Pernod Ricard, Peugeot, PMU, Procter & Gamble, Renault, SNCF, Société générale, Unilever, Yves Rocher.
Toutes ces marques ont accepté de signer quinze engagements qui doivent concrétiser une démarche de communication responsable.
« Cet engagement intervient alors que le Conseil supérieur de l'audiovisuel (CSA) a décidé ces dernières années de combattre les stéréotypes sexistes à la télévision. Après avoir regardé 2000 publicités diffusées juste avant 20 heures sur 24 chaînes, le CSA affirmait dans un rapport d'octobre 2017, que "le rôle attribué aux femmes est réducteur et, volontairement ou non, des stéréotypes de genre imprègnent encore un grand nombre de messages" » rapporte L’Express.
Parmi les images les plus répandues, le CSA listait que les femmes sont globalement minoritaires (46%) que les jeux d’argent mettent en scène 78% d’hommes, les voitures 64% et la technologie 58%. Les femmes sont elles majoritaires à 63% pour les produits de soin, 57% pour l’habillement et la parfumerie et autour de 55% pour les loisirs et produit de santé. « Autre constat du CSA: la publicité sexualise plus les femmes que les hommes. Sur 82 messages mettant en scène des attitudes suggestives ou des cadrages intimes, 55 le faisaient via des corps féminins » ajoute L’Express.
Pour ce qui est de l’aspect femme à poil pour vendre, on peut comprendre. En revanche, pour le reste, les publicitaires vont s’arracher les cheveux s’ils ne peuvent plus mettre en scène les principales cibles d’un produit. La réclame est elle là pour faire en sorte que plus de femmes s’intéressent aux voitures ? Naïvement on pensait que la pub était là pour donner envie d’acheter.
Toutes ces marques ont accepté de signer quinze engagements qui doivent concrétiser une démarche de communication responsable.
« Cet engagement intervient alors que le Conseil supérieur de l'audiovisuel (CSA) a décidé ces dernières années de combattre les stéréotypes sexistes à la télévision. Après avoir regardé 2000 publicités diffusées juste avant 20 heures sur 24 chaînes, le CSA affirmait dans un rapport d'octobre 2017, que "le rôle attribué aux femmes est réducteur et, volontairement ou non, des stéréotypes de genre imprègnent encore un grand nombre de messages" » rapporte L’Express.
Parmi les images les plus répandues, le CSA listait que les femmes sont globalement minoritaires (46%) que les jeux d’argent mettent en scène 78% d’hommes, les voitures 64% et la technologie 58%. Les femmes sont elles majoritaires à 63% pour les produits de soin, 57% pour l’habillement et la parfumerie et autour de 55% pour les loisirs et produit de santé. « Autre constat du CSA: la publicité sexualise plus les femmes que les hommes. Sur 82 messages mettant en scène des attitudes suggestives ou des cadrages intimes, 55 le faisaient via des corps féminins » ajoute L’Express.
Pour ce qui est de l’aspect femme à poil pour vendre, on peut comprendre. En revanche, pour le reste, les publicitaires vont s’arracher les cheveux s’ils ne peuvent plus mettre en scène les principales cibles d’un produit. La réclame est elle là pour faire en sorte que plus de femmes s’intéressent aux voitures ? Naïvement on pensait que la pub était là pour donner envie d’acheter.