Le taux d’usure n’a pas augmenté suffisamment. La Banque de France a fixé au 1er juillet à 2,57% ce taux et il est responsable d’un nombre anormal de refus de prêt immobilier. Une situation notée par de nombreuses personnes et que confirme plus précisément un article de franceinfo : « depuis le 1er janvier, près d'une demande sur deux de prêts immobiliers, soit 45%, est refusée en France à cause du taux d'usure, c'est-à-dire le taux maximum auquel une banque peut prêter, selon un sondage Opinion System commandé notamment par l'Afib (association française des intermédiaires en bancassurance) et consulté mardi 16 août par franceinfo. »
« C'est le taux donné par la Banque de France chaque trimestre au-delà duquel une banque a l'interdiction de prêter. Ça protège le consommateur face à des banques qui essaieraient peut-être de financer le consommateur sur des taux trop élevés par rapport à la moyenne du marché, ce qui est très bien, mais le problème c'est que ce taux ne monte pas assez vite par rapport à la hausse des taux », explique à la chaine d’info Jérome Cusanno, le président de l’Afib.
Les refus touchent principalement les personnes qui obtiennent habituellement le plus facilement des prêts. Tirant la sonnette d’alarme sur les effets de cette situation sur le secteur, le représentant des intermédiaires en bancassurance conseille à ceux qui ont un projet d’achat d’attendre s’ils le peuvent : « Cela a beaucoup augmenté. On a connu une période faste sur les 5 dernières années. Les taux directeurs de la Banque centrale européenne n'ont cessé de descendre pour soutenir l'économie. Mais l'économie répond à un cycle et aujourd'hui, on est plutôt sur une phase ascendante. Les taux remontent et les taux remontent trop vite. »
« C'est le taux donné par la Banque de France chaque trimestre au-delà duquel une banque a l'interdiction de prêter. Ça protège le consommateur face à des banques qui essaieraient peut-être de financer le consommateur sur des taux trop élevés par rapport à la moyenne du marché, ce qui est très bien, mais le problème c'est que ce taux ne monte pas assez vite par rapport à la hausse des taux », explique à la chaine d’info Jérome Cusanno, le président de l’Afib.
Les refus touchent principalement les personnes qui obtiennent habituellement le plus facilement des prêts. Tirant la sonnette d’alarme sur les effets de cette situation sur le secteur, le représentant des intermédiaires en bancassurance conseille à ceux qui ont un projet d’achat d’attendre s’ils le peuvent : « Cela a beaucoup augmenté. On a connu une période faste sur les 5 dernières années. Les taux directeurs de la Banque centrale européenne n'ont cessé de descendre pour soutenir l'économie. Mais l'économie répond à un cycle et aujourd'hui, on est plutôt sur une phase ascendante. Les taux remontent et les taux remontent trop vite. »