« Coincés dans les embouteillages du matin sur le périphérique toulousain, les automobilistes sont loin d’être à l’abri au chaud dans leur habitacle. Sans le savoir, ils respirent près de cinq fois plus de dioxyde d’azote qu’un usager de la ligne A qui se rend au boulot. Par contre, ce dernier, en prenant sa rame de métro respirera environ quatre fois plus de PM10, ces poussières se déposant sur les poumons, qu’un usager du tramway », explique un article en ligne du journal 20Minutes.
C’est l’étude de l’Observatoire régional de l’air qui le précise, intitulée « la qualité de l’air dans les déplacements quotidiens ».
C’est l’étude de l’Observatoire régional de l’air qui le précise, intitulée « la qualité de l’air dans les déplacements quotidiens ».
Attention au métro et à ses particules
Pour réaliser une telle étude sur la pollution, les agents de l’Observatoire régional de l'air ont pris les transports en commun équipés de capteurs, et sillonné à pied et à vélo les rues de la ville rose aux heures où le trafic est le plus important.
« Grâce aux 15.000 mesures réalisées, l’Observatoire a établi un classement de l’exposition aux polluants selon le mode de transport utilisé », assure l’article de 20Minutes.
Ainsi, les résultats de l’étude sont formels : « l’automobiliste est le plus exposé, même si les filtres à particules ont réduit l’impact des PM10. » Les usagers des bus suivent ensuite, avant ceux du TER, les cyclistes, les piétons et les voyageurs du tram.
Cependant, c’est bien dans le métro que l’exposition aux PM10 est la plus importante : « Issues du freinage des VAL, elles sont toutefois en baisse par rapport à 2008, grâce à une amélioration de la ventilation dans les stations », souligne l’article.
Lire l’intégralité de l’article de 20Minutes ici.
« Grâce aux 15.000 mesures réalisées, l’Observatoire a établi un classement de l’exposition aux polluants selon le mode de transport utilisé », assure l’article de 20Minutes.
Ainsi, les résultats de l’étude sont formels : « l’automobiliste est le plus exposé, même si les filtres à particules ont réduit l’impact des PM10. » Les usagers des bus suivent ensuite, avant ceux du TER, les cyclistes, les piétons et les voyageurs du tram.
Cependant, c’est bien dans le métro que l’exposition aux PM10 est la plus importante : « Issues du freinage des VAL, elles sont toutefois en baisse par rapport à 2008, grâce à une amélioration de la ventilation dans les stations », souligne l’article.
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