Avec un masque et des mains propres, il n’y a pas de raison de paniquer. On est désormais habitué à faire attention à nos mais, aux gestes qui touchent notre visage et aux gestes barrière. Il n’y a donc pas de raison de paniquer à l’arrivée de la reprise même si certains points doivent être éclaircis pour comprendre comment la contagion a lieu.
« Le premier mode de transmission du coronavirus mis en évidence est celui des postillons, des gouttelettes de salive expulsées par une personne infectée quand elle tousse ou éternue, ou quand elle parle ou chante. Les scientifiques jugent que cela nécessite un contact rapproché, d’un mètre à un mètre cinquante maximum. En revanche, ces gouttelettes de 5 à 10 microns sont relativement « lourdes » et retombent rapidement, elles ne se maintiennent pas en suspension dans l’air » rappelle Le Figaro .
Quant aux surfaces, elles peuvent être vecteurs de contamination si l’on se touche ensuite le visage. « Des études ont montré que le coronavirus peut persister longtemps sur les surfaces inertes (plastique, acier...): plusieurs heures voire quelques jours, si la température et l’humidité sont favorables. Toutefois, au bout de quelques heures, il n’est retrouvé qu’à l’état de traces, en quantité insuffisante pour contaminer » appuie le quotidien. Quant aux transmissions par aérosols, elle n’a pas encore été prouvée mais n’est pas formellement exclue.
Enfin, concernant les entreprises qui désinfectent très régulièrement, les chercheurs estiment qu’il s’agit plus d’une initiative pour rassurer les salariés que d’une mesure vraiment utile. En comparaison du lavage très fréquent des mains et des distances, couplés à une aération régulière des lieux clos, la désinfection ou les surfaces innovantes sont des gadgets dont l’utilité n’a pas été démontrée par des études fiables.
Lire en intégralité l’article du Figaro sur les enjeux des lieux clos et de la contamination
« Le premier mode de transmission du coronavirus mis en évidence est celui des postillons, des gouttelettes de salive expulsées par une personne infectée quand elle tousse ou éternue, ou quand elle parle ou chante. Les scientifiques jugent que cela nécessite un contact rapproché, d’un mètre à un mètre cinquante maximum. En revanche, ces gouttelettes de 5 à 10 microns sont relativement « lourdes » et retombent rapidement, elles ne se maintiennent pas en suspension dans l’air » rappelle Le Figaro .
Quant aux surfaces, elles peuvent être vecteurs de contamination si l’on se touche ensuite le visage. « Des études ont montré que le coronavirus peut persister longtemps sur les surfaces inertes (plastique, acier...): plusieurs heures voire quelques jours, si la température et l’humidité sont favorables. Toutefois, au bout de quelques heures, il n’est retrouvé qu’à l’état de traces, en quantité insuffisante pour contaminer » appuie le quotidien. Quant aux transmissions par aérosols, elle n’a pas encore été prouvée mais n’est pas formellement exclue.
Enfin, concernant les entreprises qui désinfectent très régulièrement, les chercheurs estiment qu’il s’agit plus d’une initiative pour rassurer les salariés que d’une mesure vraiment utile. En comparaison du lavage très fréquent des mains et des distances, couplés à une aération régulière des lieux clos, la désinfection ou les surfaces innovantes sont des gadgets dont l’utilité n’a pas été démontrée par des études fiables.
Lire en intégralité l’article du Figaro sur les enjeux des lieux clos et de la contamination