Est-ce à dire que les entreprises qui ne l’ont pas publié ont de mauvais résultats ? Ce qui est certain en tout cas c’est qu’à la date limite du 1er mars, seulement 700 entreprises de plus de mille salariés ont publié leur index égalité hommes-femmes. L’échéance avait pourtant été fixée par la loi Avenir professionnel et elles recevront un courrier de rappel du ministère du Travail. Parmi les sociétés qui n’ont pas respecté le délai, 500 entreprises assurent qu’elles vont le publier dans les prochains jours. Sans quoi l’inspection du travail pourrait s’en mêler sans que des sanctions ne soient pour autant brandies.
« En France, les femmes sont payées en moyenne 9 % de moins que les hommes à postes et âges égaux. Tous postes confondus, l'écart atteint 25 %. A l'heure de #Metoo, cette discrimination ne passe plus dans l'opinion publique. Pour y remédier, la loi Avenir professionnel a imposé à tous les employeurs de publier un index combinant 5 critères (rémunération, augmentation, promotions...). En dessous de 75 points sur 100, la loi laisse trois ans pour prendre des mesures correctives, sous peine sinon d'une sanction pouvant aller jusqu'à 1 % de sa masse salariale. Les sociétés de 250 à 999 salariés et celles de 50 jusqu'à 249 ont plus de temps pour se conformer à l'exercice, jusqu'au 1er septembre 2019 et au 1er mars 2020 respectivement » contextualisent Les Echos.
Parmi les entreprises qui ont répondu au test, une sur cinq n’a pas dépassé la barre fatidique des 75 points. « C'est le cas notamment de Bolloré Logistics (69), d'Atos (71), de Radio France (73) ou de GRDF (73), toujours selon le « JDD ». A l'opposé, on trouve notamment Danone (pour chacune de ses trois grandes entités juridiques) dont Muriel Pénicaud a été DRH. La Poste (94) et La Redoute (84) vont mêmes plus loin en publiant le détail des critères. Certaines, bonnes élèves également, avaient devancé l'appel, comme la Maif ou CNP Assurances (99 chacune) » continue le quotidien économique.
« En France, les femmes sont payées en moyenne 9 % de moins que les hommes à postes et âges égaux. Tous postes confondus, l'écart atteint 25 %. A l'heure de #Metoo, cette discrimination ne passe plus dans l'opinion publique. Pour y remédier, la loi Avenir professionnel a imposé à tous les employeurs de publier un index combinant 5 critères (rémunération, augmentation, promotions...). En dessous de 75 points sur 100, la loi laisse trois ans pour prendre des mesures correctives, sous peine sinon d'une sanction pouvant aller jusqu'à 1 % de sa masse salariale. Les sociétés de 250 à 999 salariés et celles de 50 jusqu'à 249 ont plus de temps pour se conformer à l'exercice, jusqu'au 1er septembre 2019 et au 1er mars 2020 respectivement » contextualisent Les Echos.
Parmi les entreprises qui ont répondu au test, une sur cinq n’a pas dépassé la barre fatidique des 75 points. « C'est le cas notamment de Bolloré Logistics (69), d'Atos (71), de Radio France (73) ou de GRDF (73), toujours selon le « JDD ». A l'opposé, on trouve notamment Danone (pour chacune de ses trois grandes entités juridiques) dont Muriel Pénicaud a été DRH. La Poste (94) et La Redoute (84) vont mêmes plus loin en publiant le détail des critères. Certaines, bonnes élèves également, avaient devancé l'appel, comme la Maif ou CNP Assurances (99 chacune) » continue le quotidien économique.