« Pour réduire le déficit public causé par la crise financière qui touche l’Algérie, la ministre algérienne de la Solidarité, de la Famille et de la Condition de la femme a proposé que les femmes mariées, prises en charge financièrement par leur mari, reversent tout ou partie de leur salaire au Trésor public », explique un article en ligne du journal 20Minutes.
Un « acte d’incompétence »
Mounia Meslem Si Amer « était interrogée par une chaîne de télévision locale sur la possibilité pour les ministres de reverser une partie de leurs revenus à l’Etat », explique l’article.
La ministre a déclaré : « Les ministres ne bénéficient pas de primes de départs » mais les « femmes algériennes, cadres d’État notamment, devraient, s’il était nécessaire, céder une partie ou l’intégralité de leurs salaires à la Trésorerie de l’État puisqu’elles sont mariées » et ainsi aider réduire le déficit.
Ses propos n’ont pas tardé à faire réagir les internautes, certains dénonçant des propos « méprisants ».
L’article souligne que « d’autres ont qualifié Mounia Meslem Si Amer, de ministre de la ‘Désolidarité’ et dénoncé un acte ‘d’incompétence’ et un ‘recul’ pour la cause des femmes, la jugeant ‘encore plus néolibérale que François Fillon’. »
Depuis janvier 2015, « le pays est plongé dans la crise, en raison du maintien prolongé du prix de baril de pétrole, sa principale ressource financière, à un niveau bas ».
Lire l’intégralité de l’article du Point ici.
La ministre a déclaré : « Les ministres ne bénéficient pas de primes de départs » mais les « femmes algériennes, cadres d’État notamment, devraient, s’il était nécessaire, céder une partie ou l’intégralité de leurs salaires à la Trésorerie de l’État puisqu’elles sont mariées » et ainsi aider réduire le déficit.
Ses propos n’ont pas tardé à faire réagir les internautes, certains dénonçant des propos « méprisants ».
L’article souligne que « d’autres ont qualifié Mounia Meslem Si Amer, de ministre de la ‘Désolidarité’ et dénoncé un acte ‘d’incompétence’ et un ‘recul’ pour la cause des femmes, la jugeant ‘encore plus néolibérale que François Fillon’. »
Depuis janvier 2015, « le pays est plongé dans la crise, en raison du maintien prolongé du prix de baril de pétrole, sa principale ressource financière, à un niveau bas ».
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