Dans la nuit de vendredi à samedi, une jeune femme de 18 ans s’est connectée sur Facebook Live à La Rochelle. Les spectateurs l’ont regardée dans une station-service automatique où elle s’est aspergée d’essence avant de se mettre le feu. Un suicide en direct qui pose de nombreuses questions sur ces « Lives » qui s’installent sur la plupart des réseau sociaux.
« Toute la scène a été retransmise en direct sur Facebook Live. Les personnes connectées ont immédiatement téléphoné aux secours. Les pompiers sont rapidement intervenus sur place, accompagnés des gendarmes et d’une ambulance. La femme a été évacuée par hélicoptère vers un centre de soin spécialisé pour les grands brûlés, à Nantes. Le Parquet de la Rochelle a immédiatement ouvert une enquête pour comprendre les raisons de son geste. La femme n’a laissé aucune lettre derrière elle, mais la thèse du suicide est privilégiée » précise le site Fredzone. Les équipes médicales ont déclaré que la gravité des brulures était telle que la vie de la jeune femme était en grand danger.
Plus qu’un dramatique fait-divers, l’utilisation, une fois de plus, d’un réseau social pour donner plus d’écho à un suicide fait réfléchir sur le rapport des plus jeunes générations à ces plateformes de communication. « La vidéo tournée par le téléphone de la femme a beaucoup circulé sur Facebook, mais les modérateurs ont été relativement prompts à réagir et elle a ainsi été supprimée le lendemain matin, vers huit heures » nuance cependant le site Fredzone.
S’agit-il d’une nouvelle façon d’attirer l’attention à l’image des évolutions technologiques ? Après les lettres de suicidés ou les appels à des proches ou numéros d’urgence, les vidéos et « Live » deviennent-ils un nouveau réflexe ? Des questions qui méritent d’être étudiées pour éventuellement permettre de déceler en amont les comportements de personnes fragiles pour les aider.
« Toute la scène a été retransmise en direct sur Facebook Live. Les personnes connectées ont immédiatement téléphoné aux secours. Les pompiers sont rapidement intervenus sur place, accompagnés des gendarmes et d’une ambulance. La femme a été évacuée par hélicoptère vers un centre de soin spécialisé pour les grands brûlés, à Nantes. Le Parquet de la Rochelle a immédiatement ouvert une enquête pour comprendre les raisons de son geste. La femme n’a laissé aucune lettre derrière elle, mais la thèse du suicide est privilégiée » précise le site Fredzone. Les équipes médicales ont déclaré que la gravité des brulures était telle que la vie de la jeune femme était en grand danger.
Plus qu’un dramatique fait-divers, l’utilisation, une fois de plus, d’un réseau social pour donner plus d’écho à un suicide fait réfléchir sur le rapport des plus jeunes générations à ces plateformes de communication. « La vidéo tournée par le téléphone de la femme a beaucoup circulé sur Facebook, mais les modérateurs ont été relativement prompts à réagir et elle a ainsi été supprimée le lendemain matin, vers huit heures » nuance cependant le site Fredzone.
S’agit-il d’une nouvelle façon d’attirer l’attention à l’image des évolutions technologiques ? Après les lettres de suicidés ou les appels à des proches ou numéros d’urgence, les vidéos et « Live » deviennent-ils un nouveau réflexe ? Des questions qui méritent d’être étudiées pour éventuellement permettre de déceler en amont les comportements de personnes fragiles pour les aider.