Ceux qui se couchent tard, meurent plus que ceux qui se couchent tôt. L’échantillon est à regarder de plus près pour évaluer la fiabilité d’une étude. En l’occurrence, pour cette étude britannique, avec un demi-million de personnes prises en compte, c’est de la statistique crédible. Un point important à souligner tant la conclusion de l’enquête surprend.
« Les "oiseaux de nuit", qui se couchent tard et ont du mal à émerger du lit le matin, ont un risque de mortalité plus élevé que les couche-tôt qui aiment se lever avec le soleil, selon une étude publiée le 11 avril 2018 dans le journal spécialisé Chronobiology International. Celle-ci, qui a porté - grâce à une base de données publique - sur près d'un demi-million d'habitants du Royaume-Uni âgés de 38 à 73 ans, montre que les couche-tard ont un risque de décès, de toutes causes, de 10% plus élevé que les couche-tôt sur la période étudié de six ans et demi » résume Sciences et Avenir.
Les raisons avancées par les chercheurs pour expliquer ce phénomène sont assez logiques. Il apparait d’abord que ceux qui veillent tard le soir doivent souvent se lever tôt pour leurs activités professionnelles et c’est leur santé qui en pâtit. Ce serait donc plutôt le nombre d’heures de sommeil qu’il faudrait connaitre, pourrait-on d’ailleurs objecter. Mais ce n’est pas tout, « les couche-tard ont plus tendance à souffrir de troubles psychologiques, de diabète, de troubles neurologiques, gastro-intestinaux et respiratoires. Ils ont également davantage tendance, à fumer, boire de l'alcool, consommer de la caféine et des drogues illégales. Le passage à l'heure d'été, qui coïncide d'ailleurs avec une incidence plus grande de crises cardiaques, est moins bien supporté par les couche-tard, relèvent également les chercheurs » ajoute Science et Avenir.
Lire l’intégralité de l’article source sur le site Science et Avenir
« Les "oiseaux de nuit", qui se couchent tard et ont du mal à émerger du lit le matin, ont un risque de mortalité plus élevé que les couche-tôt qui aiment se lever avec le soleil, selon une étude publiée le 11 avril 2018 dans le journal spécialisé Chronobiology International. Celle-ci, qui a porté - grâce à une base de données publique - sur près d'un demi-million d'habitants du Royaume-Uni âgés de 38 à 73 ans, montre que les couche-tard ont un risque de décès, de toutes causes, de 10% plus élevé que les couche-tôt sur la période étudié de six ans et demi » résume Sciences et Avenir.
Les raisons avancées par les chercheurs pour expliquer ce phénomène sont assez logiques. Il apparait d’abord que ceux qui veillent tard le soir doivent souvent se lever tôt pour leurs activités professionnelles et c’est leur santé qui en pâtit. Ce serait donc plutôt le nombre d’heures de sommeil qu’il faudrait connaitre, pourrait-on d’ailleurs objecter. Mais ce n’est pas tout, « les couche-tard ont plus tendance à souffrir de troubles psychologiques, de diabète, de troubles neurologiques, gastro-intestinaux et respiratoires. Ils ont également davantage tendance, à fumer, boire de l'alcool, consommer de la caféine et des drogues illégales. Le passage à l'heure d'été, qui coïncide d'ailleurs avec une incidence plus grande de crises cardiaques, est moins bien supporté par les couche-tard, relèvent également les chercheurs » ajoute Science et Avenir.
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