Les animaux de compagnie coûtent de plus en plus chers
L'augmentation vertigineuse des prix de l'alimentation pour animaux de compagnie est devenue un problème pour les budgets des familles. Elles doivent composer entre bien nourrir leurs compagnons et gérer prudemment leurs finances. Conséquence : des réflexions profondes sur la capacité à maintenir, voire à envisager, la présence d'un animal dans le foyer.
Selon une enquête d'OpinionWay pour Ultra Premium Direct, en effet, près d'un Français sur cinq (19%) pourrait renoncer à l'idée d'adopter un animal en 2024. Cette hésitation est encore plus prononcée chez les jeunes de moins de 35 ans, où 32% se disent dissuadés par les contraintes financières.
Selon une enquête d'OpinionWay pour Ultra Premium Direct, en effet, près d'un Français sur cinq (19%) pourrait renoncer à l'idée d'adopter un animal en 2024. Cette hésitation est encore plus prononcée chez les jeunes de moins de 35 ans, où 32% se disent dissuadés par les contraintes financières.
Des arbitrages budgétaires inéluctables
L'impact de l'inflation ne se limite pas aux intentions d'adoption; il affecte également les propriétaires d'animaux existants. Confrontés à la hausse des prix, 44% des détenteurs d'animaux admettent avoir dû faire des arbitrages budgétaires en 2023. Ces décisions vont de la réduction d'autres dépenses jusqu'à la diminution de la qualité ou de la quantité de la nourriture pour leurs animaux. « Au-delà de l’alimentation ou encore de l’énergie, la hausse des prix depuis deux ans impacte aussi les foyers français dans d’autres domaines, notamment le soin apporté à leurs animaux de compagnie », explique la marque.
Pire : les ménages fragiles sont plus affectés, selon l’étude… car ils ont plus souvent un animal de compagnie. « Cette augmentation pèse d’autant plus dans les budgets que les Français qui indiquent posséder un animal de compagnie appartiennent davantage aux catégories de la population qui ont souvent des ressources financières plus restreintes (63%). Les jeunes de moins de 35 ans sont 70% à déclarer posséder un animal, contre 44% de leurs aînés. »
Pire : les ménages fragiles sont plus affectés, selon l’étude… car ils ont plus souvent un animal de compagnie. « Cette augmentation pèse d’autant plus dans les budgets que les Français qui indiquent posséder un animal de compagnie appartiennent davantage aux catégories de la population qui ont souvent des ressources financières plus restreintes (63%). Les jeunes de moins de 35 ans sont 70% à déclarer posséder un animal, contre 44% de leurs aînés. »