Est-ce un astéroïde ou des irruptions volcaniques qui ont causé la disparition des dinosaures ? La question n’a jamais été vraiment tranchée. Deux écoles se disputent là-dessus avec chacun des arguments valables. Certains estiment d’ailleurs que les deux facteurs ont pu être déterminants. Astéroïde géant qui s’écrase au Mexique ou irruptions en cascade en Inde, les deux événements sont devenus deux hypothèses clés.
Dans une étude publiée dans la revue PNAS et réalisée par des chercheurs de l’University College of London, c’est l’option astéroïde qui prend le dessus. « Lorsque nous avons examiné les différents scénarios, soit pour que les deux choses se produisent ensemble, soit pour qu'elles soient complètement séparées, nous avons vu que l'astéroïde est [le] seul [événement] qui peut complètement éradiquer les habitats qui peuvent convenir aux dinosaures » explique l’auteur principal au « Guardian » et rapporté par Business Insider.
« Les modèles d'impact d'astéroïdes génèrent un hiver froid prolongé qui supprime les habitats potentiels des dinosaures dans le monde. Inversement, la puissance à long terme du volcanisme du Deccan (réchauffement induit par le dioxyde de carbone) entraîne une meilleure adéquation de l'habitat. Le volcanisme à court terme (refroidissement par aérosols) permet toujours une habitabilité équatoriale. Ces résultats confirment que l'impact des astéroïdes est le principal facteur de l'extinction des dinosaures non aviaires » assurent les chercheurs.
Pour eux, comme l’explique Business Insider, les irruptions volcaniques ne sont pas une explication satisfaisante car à elles seules, ils estiment que même sans ces irruptions, l’extinction aurait eu lieu. « Une autre conclusion issue de cette étude est à retenir, car elle peut être surprenante : les chercheurs ont estimé que les pulsations du réchauffement résultant du dioxyde de carbone libéré par les volcans de la région du Deccan pourraient avoir réduit le refroidissement provoqué par l'impact des astéroïdes et aider des formes de vie à se rétablir, même si cela n'aurait rien changé pour le sort des dinosaures » ajoute le site spécialisé.
Dans une étude publiée dans la revue PNAS et réalisée par des chercheurs de l’University College of London, c’est l’option astéroïde qui prend le dessus. « Lorsque nous avons examiné les différents scénarios, soit pour que les deux choses se produisent ensemble, soit pour qu'elles soient complètement séparées, nous avons vu que l'astéroïde est [le] seul [événement] qui peut complètement éradiquer les habitats qui peuvent convenir aux dinosaures » explique l’auteur principal au « Guardian » et rapporté par Business Insider.
« Les modèles d'impact d'astéroïdes génèrent un hiver froid prolongé qui supprime les habitats potentiels des dinosaures dans le monde. Inversement, la puissance à long terme du volcanisme du Deccan (réchauffement induit par le dioxyde de carbone) entraîne une meilleure adéquation de l'habitat. Le volcanisme à court terme (refroidissement par aérosols) permet toujours une habitabilité équatoriale. Ces résultats confirment que l'impact des astéroïdes est le principal facteur de l'extinction des dinosaures non aviaires » assurent les chercheurs.
Pour eux, comme l’explique Business Insider, les irruptions volcaniques ne sont pas une explication satisfaisante car à elles seules, ils estiment que même sans ces irruptions, l’extinction aurait eu lieu. « Une autre conclusion issue de cette étude est à retenir, car elle peut être surprenante : les chercheurs ont estimé que les pulsations du réchauffement résultant du dioxyde de carbone libéré par les volcans de la région du Deccan pourraient avoir réduit le refroidissement provoqué par l'impact des astéroïdes et aider des formes de vie à se rétablir, même si cela n'aurait rien changé pour le sort des dinosaures » ajoute le site spécialisé.