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Les initiés de la gastronomie l’avaient repéré. Malgré son âge, le cuisinier bretion Thomas Nedelec avait déjà fait parler de lui. « . Il lui était promis un grand avenir dans la cuisine mais le destin en a voulu autrement. Le Quimpérois Thomas Nedelec est décédé à l’hôpital de Bordeaux, le 13 décembre à l’âge de 20 ans des suites d’un accident de la route, qui s’était produit le 6 décembre dans les Landes où il résidait. Ses obsèques seront célébrées lundi en la cathédrale de Quimper. Ancien élève du lycée hôtelier Yvon-Bourges de Dinard, meilleur apprenti de France de cuisine froide à tout juste 18 ans, son parcours professionnel était déjà jonché de prestigieuses maisons à l’instar des cuisines de l’Élysée. Depuis le mois de juin, le Quimpérois avait rejoint le prestigieux palace Les Prés d’Eugénie, le trois-étoiles de Michel Guérard à Eugénie-les-Bains, dans les Landes. » explique Le Télégramme.
Le quotidien local lui avait déjà consacré un article lors de ses premiers coups d’éclat culinaires. Alors que son avenir professionnel semblait tout tracé, sa disparition soudaines dans des conditions tragiques endeuille sa famille, ses proches, sa profession et sa ville.
« Thomas Nedelec était tombé dans la marmite de la gastronomie depuis son plus jeune âge. Ses parents, Corinne et Frédéric, tiennent depuis des années le restaurant La Feuillantine à Quimper. Sa sœur jumelle Marine a, elle, été élue meilleure apprentie de France en boulangerie en février dernier », ajoute Le Télégramme. Bien au-delà de la presse bretonne, la mort du jeune homme a été largement annoncé dans toute la presse nationale. Comme un dernier hommage pour celui dont le travail et la minutie avait déjà fait parler de lui.
Le quotidien local lui avait déjà consacré un article lors de ses premiers coups d’éclat culinaires. Alors que son avenir professionnel semblait tout tracé, sa disparition soudaines dans des conditions tragiques endeuille sa famille, ses proches, sa profession et sa ville.
« Thomas Nedelec était tombé dans la marmite de la gastronomie depuis son plus jeune âge. Ses parents, Corinne et Frédéric, tiennent depuis des années le restaurant La Feuillantine à Quimper. Sa sœur jumelle Marine a, elle, été élue meilleure apprentie de France en boulangerie en février dernier », ajoute Le Télégramme. Bien au-delà de la presse bretonne, la mort du jeune homme a été largement annoncé dans toute la presse nationale. Comme un dernier hommage pour celui dont le travail et la minutie avait déjà fait parler de lui.