La voiture autonome testée par Uber et qui a renversé une piétonne est un événement planétaire. Les accidents de la route sont nombreux et tous les drames ne sont pas médiatisés comme celui-ci. Assez logiquement, étant donné les sommes et les enjeux industriels, les raisons de ce fiasco sont suivies de près. Alors que pour l’heure de nombreuses questions restaient en suspens, 01Net reprenant des infos de The Information, donne quelques éclairages sur ce qu’il s’est passé. Il semble ainsi qu’il n’y a pas eu de dysfonctionnement majeur du logiciel et que ce dernier avait bien détecté la piétonne.
« L’heure de l’accident, 22h00, n’a donc rien à voir avec cette erreur malgré la pénombre. Ni les capteurs qui ont bien fait leur travail. Il s’agit bien d’un problème logiciel lié à la prise de décision, comme le subodorait l’entreprise qui fournit le LIDAR à Uber. Conçu pour ne pas prendre en compte les faux positifs du type sac en plastique flottant au gré du vent, le système de conduite autonome aurait mis du temps à interpréter de quel type d’obstacle il s’agissait et n’aurait pas écarté immédiatement l’hypothèse d’un faux positif. Ce qui a été fatal pour la femme » rapporte le site spécialisé 01Net.com.
Du côté des responsabilités, puisqu’il s’agit d’un test en circulation la suite du développement semble logique « La responsabilité du conducteur, qui était présent au cas où un problème serait survenu, serait également pointé du doigt. Il n’aurait pas observé la route avec attention comme cela était attendu de lui, afin qu'il puisse reprendre le contrôle en cas de problème. »
Le site spécialisé précise par ailleurs que « Uber refuse de commenter ces fuites car l'enquête du NTSB, le Conseil national de la sécurité des transports, est toujours en cours. La société a décidé de faire procéder à un audit de toute sa cellule de véhicule autonome. Mais le nouveau dirigeant Dara Khosrowshahi n'envisage pas pour autant d'abandonner le projet. »
« L’heure de l’accident, 22h00, n’a donc rien à voir avec cette erreur malgré la pénombre. Ni les capteurs qui ont bien fait leur travail. Il s’agit bien d’un problème logiciel lié à la prise de décision, comme le subodorait l’entreprise qui fournit le LIDAR à Uber. Conçu pour ne pas prendre en compte les faux positifs du type sac en plastique flottant au gré du vent, le système de conduite autonome aurait mis du temps à interpréter de quel type d’obstacle il s’agissait et n’aurait pas écarté immédiatement l’hypothèse d’un faux positif. Ce qui a été fatal pour la femme » rapporte le site spécialisé 01Net.com.
Du côté des responsabilités, puisqu’il s’agit d’un test en circulation la suite du développement semble logique « La responsabilité du conducteur, qui était présent au cas où un problème serait survenu, serait également pointé du doigt. Il n’aurait pas observé la route avec attention comme cela était attendu de lui, afin qu'il puisse reprendre le contrôle en cas de problème. »
Le site spécialisé précise par ailleurs que « Uber refuse de commenter ces fuites car l'enquête du NTSB, le Conseil national de la sécurité des transports, est toujours en cours. La société a décidé de faire procéder à un audit de toute sa cellule de véhicule autonome. Mais le nouveau dirigeant Dara Khosrowshahi n'envisage pas pour autant d'abandonner le projet. »