DR montage des affiches de films d'Almodovar
Il décernera ce qu’il n’a jamais reçu. Pedro Almodovar a été choisi pour présider la 70ème édition du Festival de Cannes qui va se tenir du 17 au 28 mai. « Je suis reconnaissant et honoré et j’ai le trac ! » a déclaré, tout en humilité, le réalisateur espagnol.
« Pedro Almodovar avait déjà été membre du jury du Festival de Cannes en 1992, sous la présidence de Gérard Depardieu. La Palme d'or avait été remportée cette année-là par " Les Meilleures intentions " du réalisateur danois Bille August » précise L’Obs. Le magazine rappelle que Bas du formulaire « Cinq fois en compétition - pour "Tout sur ma mère", "Volver", "Etreintes brisées", "La Piel que habito" et "Julieta" l'an dernier -, Pedro Almodovar n'a jamais remporté la Palme d'or. Il a été cependant deux fois récompensé à Cannes, pour "Tout sur ma mère", prix de la mise en scène en 1999, et "Volver", prix du scénario et prix d'interprétation collective pour ses actrices en 2006. »
Avec vingt longs métrages à son actif, Almodovar est d’ores et déjà un grand du cinéma avec des œuvres très variées des plus provocatrices aux plus poétiques. « Figure de proue de la Movida espagnole, mouvement créatif exubérant né au début des années 80 après la dictature de Franco, Pedro Almodovar a accédé au succès international avec "Femmes au bord de la crise de nerfs" (1988). Viendront ensuite "Talons aiguilles", puis "Tout sur ma mère" et "Parle avec elle", deux de ses oeuvres les plus récompensées » continue le magazine.
Hanté par des thèmes qui reviennent toujours – notamment des figures de femmes centrales et complexes – il y a fort à parier que son goût et ses obsessions aient une influence sur la direction que prendre le jury. La réponse en mai avec les œuvres et artistes qui seront récompensés.
Lire ici en intégralité l’article du magazine L’Obs
« Pedro Almodovar avait déjà été membre du jury du Festival de Cannes en 1992, sous la présidence de Gérard Depardieu. La Palme d'or avait été remportée cette année-là par " Les Meilleures intentions " du réalisateur danois Bille August » précise L’Obs. Le magazine rappelle que Bas du formulaire « Cinq fois en compétition - pour "Tout sur ma mère", "Volver", "Etreintes brisées", "La Piel que habito" et "Julieta" l'an dernier -, Pedro Almodovar n'a jamais remporté la Palme d'or. Il a été cependant deux fois récompensé à Cannes, pour "Tout sur ma mère", prix de la mise en scène en 1999, et "Volver", prix du scénario et prix d'interprétation collective pour ses actrices en 2006. »
Avec vingt longs métrages à son actif, Almodovar est d’ores et déjà un grand du cinéma avec des œuvres très variées des plus provocatrices aux plus poétiques. « Figure de proue de la Movida espagnole, mouvement créatif exubérant né au début des années 80 après la dictature de Franco, Pedro Almodovar a accédé au succès international avec "Femmes au bord de la crise de nerfs" (1988). Viendront ensuite "Talons aiguilles", puis "Tout sur ma mère" et "Parle avec elle", deux de ses oeuvres les plus récompensées » continue le magazine.
Hanté par des thèmes qui reviennent toujours – notamment des figures de femmes centrales et complexes – il y a fort à parier que son goût et ses obsessions aient une influence sur la direction que prendre le jury. La réponse en mai avec les œuvres et artistes qui seront récompensés.
Lire ici en intégralité l’article du magazine L’Obs