L'épidémie d'Ebola a coûté la vie à plus de 1 200 personnes et le risque de propagation dans d'autres provinces de l'est du Congo ainsi que dans les pays voisins reste très élevé. Dans un communiqué, l'Organisation Mondiale de la Santé (OMS) rappelle qu'un tiers des malades sont des enfants, "ce qui représente une proportion plus élevée que lors des flambées précédentes".
Sous la direction du Gouvernement et des communautés congolaises, avec le soutien de l'ONU et d'organisations non gouvernementales (ONG), la riposte a permis de contenir le virus Ebola dans certaines régions des provinces de l'Ituri et du Nord-Kivu. Cependant, l'insécurité persistante et la méfiance des communautés vis-à-vis de la réponse continuent à restreindre l'accès aux communautés. Cet état de fait entrave les efforts déployés par l'OMS et le Ministère de la santé pour détecter les personnes malades et garantir l'accès au traitement et à la vaccination, entraînant une transmission plus intense du virus Ebola.
Compte tenu de la complexité croissante de l'environnement dans lequel la riposte évolue, l'ONU, en partenariat avec le gouvernement et tous les partenaires, renforce désormais son engagement politique et son soutien opérationnel pour négocier l'accès aux communautés ; intensifie son soutien à la coordination humanitaire ; et renforce la préparation et la capacité de réaction à Goma et dans les pays voisins. L'OMS adapte ses stratégies de santé publique afin d'identifier et de traiter les personnes le plus rapidement possible ; développe la vaccination pour atteindre et protéger davantage de personnes ; et redouble d'efforts pour mettre fin à la transmission dans les établissements de santé.
Sous la direction du Gouvernement et des communautés congolaises, avec le soutien de l'ONU et d'organisations non gouvernementales (ONG), la riposte a permis de contenir le virus Ebola dans certaines régions des provinces de l'Ituri et du Nord-Kivu. Cependant, l'insécurité persistante et la méfiance des communautés vis-à-vis de la réponse continuent à restreindre l'accès aux communautés. Cet état de fait entrave les efforts déployés par l'OMS et le Ministère de la santé pour détecter les personnes malades et garantir l'accès au traitement et à la vaccination, entraînant une transmission plus intense du virus Ebola.
Compte tenu de la complexité croissante de l'environnement dans lequel la riposte évolue, l'ONU, en partenariat avec le gouvernement et tous les partenaires, renforce désormais son engagement politique et son soutien opérationnel pour négocier l'accès aux communautés ; intensifie son soutien à la coordination humanitaire ; et renforce la préparation et la capacité de réaction à Goma et dans les pays voisins. L'OMS adapte ses stratégies de santé publique afin d'identifier et de traiter les personnes le plus rapidement possible ; développe la vaccination pour atteindre et protéger davantage de personnes ; et redouble d'efforts pour mettre fin à la transmission dans les établissements de santé.