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« Elle a beau dire qu'elle ne fera pas de politique après le départ de Barack Obama de la Maison-Blanche, de nombreux Américains touchés par son charisme et ses discours, espèrent qu'elle changera d'avis », explique un article en ligne du journal féminin Grazia, qui ajoute : « dans sa dernière déclaration, tenue jeudi à Manchester dans le New Hampshire, lors d'un meeting de soutien à Hillary Clinton, elle égratigne Donald Trump pour ses propos vulgaires et dégradants sur les femmes. »
Un « comportement de prédateur sexuel »
L’article de Grazia souligne plusieurs passages évocateurs du discours de Michelle Obama : « Quel que soit le parti auquel on appartient, démocrate, républicain ou indépendant, aucune femme ne mérite d'être traitée de cette façon. Il ne s'agissait pas de discussions de vestiaire. Il s'agissait d'un homme puissant s'exprimant librement et ouvertement sur un comportement de prédateur sexuel. Et se vantant d'embrasser et de peloter des femmes". »
La première Dame ajoute : « Je ne peux pas arrêter d'y penser. Ces propos m'ont glacée jusqu'à la moelle, m'ont bouleversée à un point que je n'aurais jamais imaginé. J'entends ses remarques et elles me blessent, et je suis sûre qu'elles vous blessent aussi, surtout les femmes [...] Ce n'est pas normal. Ce n'est pas la politique telle qu'on l'entend. C'est honteux. C'est intolérable (…) Cela nous rappelle ces histoires que nous ont racontées nos mères et grands-mères sur leur patron qui pouvait faire tout ce qu'il voulait aux femmes du bureau. On pensait que c'était de l'histoire ancienne, mais non, nous y revoilà : on est en 2016 et on entend exactement la même chose au quotidien pendant cette campagne, on s'y noie. »
Michelle Obama poursuit : « Nos mères et nos grands-mères étaient souvent impuissantes pour changer leurs conditions de vie, aujourd'hui en tant que femmes, nous disposons de tout le pouvoir dont nous avons besoin pour déterminer l'issue de cette élection. »
Lire l’intégralité de l’article de Grazia ici.
La première Dame ajoute : « Je ne peux pas arrêter d'y penser. Ces propos m'ont glacée jusqu'à la moelle, m'ont bouleversée à un point que je n'aurais jamais imaginé. J'entends ses remarques et elles me blessent, et je suis sûre qu'elles vous blessent aussi, surtout les femmes [...] Ce n'est pas normal. Ce n'est pas la politique telle qu'on l'entend. C'est honteux. C'est intolérable (…) Cela nous rappelle ces histoires que nous ont racontées nos mères et grands-mères sur leur patron qui pouvait faire tout ce qu'il voulait aux femmes du bureau. On pensait que c'était de l'histoire ancienne, mais non, nous y revoilà : on est en 2016 et on entend exactement la même chose au quotidien pendant cette campagne, on s'y noie. »
Michelle Obama poursuit : « Nos mères et nos grands-mères étaient souvent impuissantes pour changer leurs conditions de vie, aujourd'hui en tant que femmes, nous disposons de tout le pouvoir dont nous avons besoin pour déterminer l'issue de cette élection. »
Lire l’intégralité de l’article de Grazia ici.