Il ne tenait plus qu’à un fil et c’est lui qui l’a coupé. Frédéric Mion a annoncé par mail aux étudiants, personnel et enseignants qu’il démissionnait de sa fonction de directeur de Science Po Paris. « J’ai trop de considération pour les hommes et les femmes qui servent notre école avec talent et passion pour accepter que leur action puisse être affectée par mes décisions. J’ai décidé de présenter ma démission aux membres de nos conseils et à la ministre de l’enseignement supérieur. J’espère qu’elle permettra le retour à la sérénité si nécessaire au travail de toutes et de tous. »
Depuis la publication du livre « La familia grande » et les accusations d’inceste qui visent Olivier Duhamel, professeur à Science Po et membre du Siècle, ses proches et connaissances sont suspectés d’avoir eu connaissance des faits présumés sans rien faire. Outre Frédéric Mion, le préfet Marc Guillaume et l’avocat Jean Veil ont été vivement critiqué par des articles.
S’agissant de Frédéric Mion, une enquête a été diligentée par l’administration mais, d’après Mion, aucune complaisance n’a été pointée. « Toutefois, le rapport note également «des erreurs de jugement, dans le traitement des allégations» dont le directeur de Sciences Po a eu la communication en 2018 ainsi que «des incohérences» dans la manière dont il s’est exprimé sur le déroulement de cette affaire après qu’elle a éclaté. «Je mesure le trouble qui en résulte et j’en assume l’entière responsabilité», écrit Frédéric Mion », relève Le Figaro .
« Aujourd’hui, de nouvelles révélations de Marianne avaient encore fragilisé un peu plus Frédéric Mion. D’après l’hebdomadaire, Marc Guillaume, l’ancien secrétaire général du gouvernement et actuel préfet de Paris, avait été informé à deux reprises, dont une fois, par le directeur de l’établissement en personne de «problèmes sexuels» concernant Duhamel. «Mais pas d’inceste», a-t-il nuancé… » rappelle la rubrique étidiant du quotidien.
Depuis la publication du livre « La familia grande » et les accusations d’inceste qui visent Olivier Duhamel, professeur à Science Po et membre du Siècle, ses proches et connaissances sont suspectés d’avoir eu connaissance des faits présumés sans rien faire. Outre Frédéric Mion, le préfet Marc Guillaume et l’avocat Jean Veil ont été vivement critiqué par des articles.
S’agissant de Frédéric Mion, une enquête a été diligentée par l’administration mais, d’après Mion, aucune complaisance n’a été pointée. « Toutefois, le rapport note également «des erreurs de jugement, dans le traitement des allégations» dont le directeur de Sciences Po a eu la communication en 2018 ainsi que «des incohérences» dans la manière dont il s’est exprimé sur le déroulement de cette affaire après qu’elle a éclaté. «Je mesure le trouble qui en résulte et j’en assume l’entière responsabilité», écrit Frédéric Mion », relève Le Figaro .
« Aujourd’hui, de nouvelles révélations de Marianne avaient encore fragilisé un peu plus Frédéric Mion. D’après l’hebdomadaire, Marc Guillaume, l’ancien secrétaire général du gouvernement et actuel préfet de Paris, avait été informé à deux reprises, dont une fois, par le directeur de l’établissement en personne de «problèmes sexuels» concernant Duhamel. «Mais pas d’inceste», a-t-il nuancé… » rappelle la rubrique étidiant du quotidien.