Marina Jaber a expliqué sa démarche, applaudie par de nombreux passants : « Assez de la peur : les femmes devraient faire valoir leurs droits et s'en servir, car nous sommes la société. »
« En Irak, il n'est pas formellement interdit aux femmes de monter à vélo. Mais cette pratique est rare car socialement mal tolérée », souligne un article en ligne du journal Le Parisien.
« Je suis très heureuse, je réalise que notre société n'est pas si rétrograde, les gens nous encouragent », assure la jeune femme.
« En Irak, il n'est pas formellement interdit aux femmes de monter à vélo. Mais cette pratique est rare car socialement mal tolérée », souligne un article en ligne du journal Le Parisien.
« Je suis très heureuse, je réalise que notre société n'est pas si rétrograde, les gens nous encouragent », assure la jeune femme.
29.000 abonnés sur son compte Instagram
L’article du Parisien précise que « depuis quelques semaines, les photos de cette musulmane aux longs cheveux bruns déambulant à vélo dans les rues de Bagdad créent la sensation sur les réseaux sociaux », ajoutant que « le compte Instagram de Marina compte aujourd'hui plus de 29.000 abonnés. »
Il ajoute : « sur l'un de ces clichés, Marina dépasse un vieil homme à vélo qui lui jette un regard noir, visiblement choqué. »
Ainsi, Marina « a fait des émules chez les jeunes femmes de Bagdad. Parmi elles, Mina, 25 ans, venue se joindre à la promenade de lundi, dans l'espoir de faire avancer les mentalités » : « Quand j'étais enfant j'avais un vélo, j'en faisais toute la journée. Mais quand j'ai eu 10 ans, ma famille a commencé à me l'interdire, je ne comprenais pas pourquoi. Plus tard j'ai réalisé que c'est parce que j'étais une fille », constate-t-elle non sans une once d’amertume.
Lire l’intégralité de l’article du Parisien ici.
Il ajoute : « sur l'un de ces clichés, Marina dépasse un vieil homme à vélo qui lui jette un regard noir, visiblement choqué. »
Ainsi, Marina « a fait des émules chez les jeunes femmes de Bagdad. Parmi elles, Mina, 25 ans, venue se joindre à la promenade de lundi, dans l'espoir de faire avancer les mentalités » : « Quand j'étais enfant j'avais un vélo, j'en faisais toute la journée. Mais quand j'ai eu 10 ans, ma famille a commencé à me l'interdire, je ne comprenais pas pourquoi. Plus tard j'ai réalisé que c'est parce que j'étais une fille », constate-t-elle non sans une once d’amertume.
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