Depuis la disparition de l’avion de la Malaysia Airlines le 8 mars 2014 les recherches incessantes n’ont pas porté de fruits. Coordonnées par l’Australie et soutenues par la Chine et la Malaisie, les fouilles vont être interrompues, ont annoncé les trois pays dans un communiqué. « Malgré tous les efforts déployés, faisant appel au meilleur savoir-faire, à une technologie de pointe, ainsi qu'à la modélisation et aux conseils des professionnels les plus qualifiés dans leur domaine, malheureusement, les recherches n'ont pas permis de localiser l'avion » expliquent les autorités.
JACC, l’agence australienne d’information du public sur ce dossier, a ainsi annoncé que le dernier navire qui opérait des recherches sous-marines allait quitter la zone. La décision a été murement réfléchie par les responsables qui affirment que si de nouveaux éléments concrets permettent de suivre une nouvelle piste pour localiser l’avion, ils s’empresseront de les prendre en compte.
Une décision que déplorent les familles des victimes « car le 20 décembre dernier, l'ATSB australien (l'équivalent du BEA en France, ndlr) a publié un rapport d'analyse des dérives estimant que la zone de recherches n'était pas la bonne, qu'il fallait fouiller plus au nord». L'association des familles de victimes, Voice 370, avait donc appelé les autorités à étendre la zone actuelle, déterminée à partir d'une hypothèse selon laquelle l'avion n'avait plus personne à ses commandes et qu'il était à court de carburant. Mais l'Australie et la Malaisie ont rejeté ses recommandations, assurant qu'aucune preuve ne venait les appuyer » avance Le Figaro .
« Si les recherches officielles n'ont rien donné à l'ouest de l'Australie, une vingtaine de débris découverts au large de l'Afrique de l'Est ont été identifiés comme appartenant probablement ou certainement au Boeing 777. Jusque-là cependant, les autorités n'ont pas exploré cette piste. De leur côté, Ghislain Wattrelos et d'autres membres de Voice370 ont lancé le mois dernier une campagne à Madagascar afin d'exhorter les habitants de l'île à les aider à trouver de nouveaux débris. Pour tenter, par leurs propres moyens, de savoir ce qui est arrivé à leurs proches... et percer l'un des plus grands mystères de l'histoire de l'aviation civile » conclue le quotidien.
JACC, l’agence australienne d’information du public sur ce dossier, a ainsi annoncé que le dernier navire qui opérait des recherches sous-marines allait quitter la zone. La décision a été murement réfléchie par les responsables qui affirment que si de nouveaux éléments concrets permettent de suivre une nouvelle piste pour localiser l’avion, ils s’empresseront de les prendre en compte.
Une décision que déplorent les familles des victimes « car le 20 décembre dernier, l'ATSB australien (l'équivalent du BEA en France, ndlr) a publié un rapport d'analyse des dérives estimant que la zone de recherches n'était pas la bonne, qu'il fallait fouiller plus au nord». L'association des familles de victimes, Voice 370, avait donc appelé les autorités à étendre la zone actuelle, déterminée à partir d'une hypothèse selon laquelle l'avion n'avait plus personne à ses commandes et qu'il était à court de carburant. Mais l'Australie et la Malaisie ont rejeté ses recommandations, assurant qu'aucune preuve ne venait les appuyer » avance Le Figaro .
« Si les recherches officielles n'ont rien donné à l'ouest de l'Australie, une vingtaine de débris découverts au large de l'Afrique de l'Est ont été identifiés comme appartenant probablement ou certainement au Boeing 777. Jusque-là cependant, les autorités n'ont pas exploré cette piste. De leur côté, Ghislain Wattrelos et d'autres membres de Voice370 ont lancé le mois dernier une campagne à Madagascar afin d'exhorter les habitants de l'île à les aider à trouver de nouveaux débris. Pour tenter, par leurs propres moyens, de savoir ce qui est arrivé à leurs proches... et percer l'un des plus grands mystères de l'histoire de l'aviation civile » conclue le quotidien.