Il suffit de parcourir les témoignages publiés par Madmoizelle pour saisir la complexité du problème. Le site féminin consacre un article aux symptômes de l’arrêt de la pilule contraceptive en donnant la parole aux femmes concernées et avec le commentaire d’un médecin. Rappelant que près d’une femme sur trois en âge de procréer prend la pilule contraceptive, l’article liste les effets « positifs » ou « négatifs » qui suivent l’arrêt. Un inventaire qui démontre une fois de plus que la pilule n’a rien d’anodin.
Du point de vue hormonal, psychologique ou physique, les témoignages soulignent des effets importants, parfois inquiétants. A lire les témoignages on note surtout que la prise de la pilule est problématique dans la mesure où il s’agit d’une ingestion de produits au quotidien, parfois et même souvent pendant des années, sans qu’il s’agisse d’une pathologie à guérir. Une réalité dans le quotidien de beaucoup de femmes qui cohabite étrangement avec les modes du manger bio ou la peur panique des perturbateurs endocriniens. Évitons les poulets aux hormones, mais prenons en chaque jour à heure fixe…
« Selon la génération de pilule prise, votre individualité physiologique et psychologique, votre cycle (douleurs, abondance…), votre réaction aux hormones de synthèse, etc., les symptômes ne seront pas les mêmes » précise Madmoizelle et d’ajouter que « il est aussi important de noter que le choix de sa pilule contraceptive, et de son moyen de contraception en général, doit se faire avec un ou une médecin/gynécologue/sage-femme. Il est important de se fier à ses ressentis : une pilule qui convient à une sœur ou une amie peut ne pas du tout convenir à soi. Il ne faut pas hésiter à tester, changer, arrêter la prise d’une contraception si nécessaire, mais toujours avec un avis médical. »
Du point de vue hormonal, psychologique ou physique, les témoignages soulignent des effets importants, parfois inquiétants. A lire les témoignages on note surtout que la prise de la pilule est problématique dans la mesure où il s’agit d’une ingestion de produits au quotidien, parfois et même souvent pendant des années, sans qu’il s’agisse d’une pathologie à guérir. Une réalité dans le quotidien de beaucoup de femmes qui cohabite étrangement avec les modes du manger bio ou la peur panique des perturbateurs endocriniens. Évitons les poulets aux hormones, mais prenons en chaque jour à heure fixe…
« Selon la génération de pilule prise, votre individualité physiologique et psychologique, votre cycle (douleurs, abondance…), votre réaction aux hormones de synthèse, etc., les symptômes ne seront pas les mêmes » précise Madmoizelle et d’ajouter que « il est aussi important de noter que le choix de sa pilule contraceptive, et de son moyen de contraception en général, doit se faire avec un ou une médecin/gynécologue/sage-femme. Il est important de se fier à ses ressentis : une pilule qui convient à une sœur ou une amie peut ne pas du tout convenir à soi. Il ne faut pas hésiter à tester, changer, arrêter la prise d’une contraception si nécessaire, mais toujours avec un avis médical. »