Alors que franceinfo assure que les bars et restaurants resteront fermés jusqu’à mi janvier, le gouvernement rassure les Français sur les sapins de Noël. « Les sapins autorisés à la vente en vue de Noël. Le ministre de l'Agriculture Julien Denormandie a annoncé ce mardi sur RMC qu'il sera possible d'acheter des sapins de Noël à partir du 20 novembre dans le pays. "La filière s'organise, les producteurs sont à pied d'oeuvre. C'est très important pour les Français, les familles, les enfants. Et aussi pour cette filière d'excellence qui contribue à la valorisation de nos territoires." Pour cette autorisation malgré le contexte de crise sanitaire, le ministre met en avant le fait que les ventes de sapin se font majoritairement en extérieur. Avec la fermeture des points de ventes de produits dits "essentiels", la question de la vente du traditionnel sapin de Noël naturels inquiétait les producteurs de conifères » rapporte un article publié sur le site de RMC.
On allait souligner l’absurdité de cette déclaration quand le ministre s’en est chargé de lui-même : « Si un jour on m'avait dit qu'en temps que ministre de l'Agriculture je serai là pour annoncer la date où il sera possible de commencer à acheter des sapins je ne vous aurai pas cru. Ce n'est pas ma façon de faire et pas la façon que j'ai d'imaginer l'action de l'Etat. On en a la nécessité car si quelqu'un avait imaginé cette pandémie là aussi beaucoup ne les aurait pas cru. On fait au mieux dans cette complexité. »
Si l’on comprend aisément l’inquiétude de la filière des sapins de Noël dont les 6 millions vendus chaque année sont issus à 80% de productions françaises, l’on s’étonne que l’exécutif ne se prononce pas sur les sujets qui fâchent depuis des semaines. Livres et jouets vendus par les petits commerçant par exemple.
On allait souligner l’absurdité de cette déclaration quand le ministre s’en est chargé de lui-même : « Si un jour on m'avait dit qu'en temps que ministre de l'Agriculture je serai là pour annoncer la date où il sera possible de commencer à acheter des sapins je ne vous aurai pas cru. Ce n'est pas ma façon de faire et pas la façon que j'ai d'imaginer l'action de l'Etat. On en a la nécessité car si quelqu'un avait imaginé cette pandémie là aussi beaucoup ne les aurait pas cru. On fait au mieux dans cette complexité. »
Si l’on comprend aisément l’inquiétude de la filière des sapins de Noël dont les 6 millions vendus chaque année sont issus à 80% de productions françaises, l’on s’étonne que l’exécutif ne se prononce pas sur les sujets qui fâchent depuis des semaines. Livres et jouets vendus par les petits commerçant par exemple.