Le mystère autour de l’identité de Jack l’Eventreur est clôt, 131 années après les meurtres. « Il s'agirait de Aaron Kosminski, barbier et émigré polonais, âgé de 23 ans au moment des faits. Deux scientifiques britanniques, Jari Louhalainen de l'université de Liverpool et David Miller de l'université de Leeds, travaillaient sur l'identification du plus célèbre tueur en série depuis 2007. Leur travail vient d'être publié par la revue Journal of Forensic Sciences et accuse donc celui qui était déjà considéré comme le principal suspect » nous apprend Le Figaro .
En travaillant à partir d’un châle retrouvé par les policiers en septembre 1888, sur la dépouille de la quatrième victime du tueur. Les scientifiques ont comparé les traces biologiques prélevées sur le tissu avec les données des descendants de Aaron Kosminski qui était le principal suspect des enquêteurs à l’époque. « La comparaison ADN ayant fonctionné, les deux scientifiques confirment ainsi que la police avait vu juste, même si cette dernière avait dû relâcher le suspect faute de preuves » commente le quotidien français.
Le fait que le jeune homme soit relâché (il est mort en 1919 dans un asile) et que personne ne soit jugé pour les cinq meurtres abominables de prostituées en a peine trois mois, a suscité tous les fantasmes. « Jack l'Éventreur agissait toujours la nuit, tuait ses victimes en les égorgeant, puis les éventrait en leur ôtant certains organes comme l'utérus ou les reins. La légende raconte que le tueur écrivait ensuite à la police et aux journaux pour raconter ses crimes et signait lui-même «Jack The Ripper». En 2014 déjà, le détective privé Russell Edwards avait mené son enquête et sorti un livre intitulé «Jack l'Éventreur démasqué» dans lequel il affirmait que le jeune barbier polonais Aaron Kosminiski était bien l'auteur de ces crimes. Il avait par ailleurs acquis le châle de la quatrième victime en 2007 pour le confier au scientifique britannique Jari Louhelainen, auteur de la récente étude » rappelle Le Figaro.
Pour autant cette preuve scientifique reste contestée dans la mesure où elle repose sur un châle. Pour ôter les derniers doutes, les scientifiques devront désormais prouver l’authenticité de ce vêtement.
En travaillant à partir d’un châle retrouvé par les policiers en septembre 1888, sur la dépouille de la quatrième victime du tueur. Les scientifiques ont comparé les traces biologiques prélevées sur le tissu avec les données des descendants de Aaron Kosminski qui était le principal suspect des enquêteurs à l’époque. « La comparaison ADN ayant fonctionné, les deux scientifiques confirment ainsi que la police avait vu juste, même si cette dernière avait dû relâcher le suspect faute de preuves » commente le quotidien français.
Le fait que le jeune homme soit relâché (il est mort en 1919 dans un asile) et que personne ne soit jugé pour les cinq meurtres abominables de prostituées en a peine trois mois, a suscité tous les fantasmes. « Jack l'Éventreur agissait toujours la nuit, tuait ses victimes en les égorgeant, puis les éventrait en leur ôtant certains organes comme l'utérus ou les reins. La légende raconte que le tueur écrivait ensuite à la police et aux journaux pour raconter ses crimes et signait lui-même «Jack The Ripper». En 2014 déjà, le détective privé Russell Edwards avait mené son enquête et sorti un livre intitulé «Jack l'Éventreur démasqué» dans lequel il affirmait que le jeune barbier polonais Aaron Kosminiski était bien l'auteur de ces crimes. Il avait par ailleurs acquis le châle de la quatrième victime en 2007 pour le confier au scientifique britannique Jari Louhelainen, auteur de la récente étude » rappelle Le Figaro.
Pour autant cette preuve scientifique reste contestée dans la mesure où elle repose sur un châle. Pour ôter les derniers doutes, les scientifiques devront désormais prouver l’authenticité de ce vêtement.