Isabelle Huppert a gagné alors que la concurrence était rude. Pour le Golden Globes de la meilleure actrice elle était dimanche en lice contre Amy Adams, Jessica Chastain, Ruth Negga et Natalie Portman.
Le film « Elle » a aussi décroché le Golden Globe de meilleur film étranger. En recevant son prix, Isabelle Huppert a chaleureusement remercié Paul Verhoeven de l'avoir « laissé être (elle-même) ». « Merci de m'avoir fait gagner dans un film français dirigé par un réalisateur néerlandais, ici aux États-Unis (…) Il y a des gens du monde entier dans cette salle, de Chine, d'Amérique, d'Europe. N'attendez pas du cinéma qu'il dresse des murs et des frontières. »
Le film « Elle » a aussi décroché le Golden Globe de meilleur film étranger. En recevant son prix, Isabelle Huppert a chaleureusement remercié Paul Verhoeven de l'avoir « laissé être (elle-même) ». « Merci de m'avoir fait gagner dans un film français dirigé par un réalisateur néerlandais, ici aux États-Unis (…) Il y a des gens du monde entier dans cette salle, de Chine, d'Amérique, d'Europe. N'attendez pas du cinéma qu'il dresse des murs et des frontières. »
Un rôle particulier
Légende du cinéma français et étranger, « Isabelle Huppert avait déjà gagné tous les prix possibles et imaginables dans le monde, mais n'avait été que peu récompensée aux États-Unis, avant « Elle », explique un article en ligne du journal Le Point, qui ajoute : « Ce Golden Globe complète la moisson américaine que lui a valu ce thriller transgressif de Paul Verhoeven, accueilli par des critiques dithyrambiques. »
Dans cette adaptation d'un roman de Philippe Djian, elle interprète une « femme violée qui, loin de s'effondrer, va traquer son agresseur, se lancer dans un jeu érotique avec lui, avant d'en avoir raison. »
Avant la cérémonie des Golden Globes, l’actrice avait assuré : « Je suis vraiment heureuse de la réception du film et de l'attention qui lui est portée. Être ici dans un film français dirigé par un réalisateur néerlandais, ça prouve que le cinéma parfois abolit les frontières. Le fait qu'elle soit présentée dans la multiplicité de ce qu'on est tous au fond, une mère, une ex-femme, une fille, ça en fait un personnage particulièrement riche. »
Isabelle Huppert a tourné avec un grand nombre de metteurs en scène du monde, dont aux États-Unis Otto Preminger, Michael Cimino, Hal Hartley (Amateur) et David O'Russell (J'adore Huckabees).
Dans cette adaptation d'un roman de Philippe Djian, elle interprète une « femme violée qui, loin de s'effondrer, va traquer son agresseur, se lancer dans un jeu érotique avec lui, avant d'en avoir raison. »
Avant la cérémonie des Golden Globes, l’actrice avait assuré : « Je suis vraiment heureuse de la réception du film et de l'attention qui lui est portée. Être ici dans un film français dirigé par un réalisateur néerlandais, ça prouve que le cinéma parfois abolit les frontières. Le fait qu'elle soit présentée dans la multiplicité de ce qu'on est tous au fond, une mère, une ex-femme, une fille, ça en fait un personnage particulièrement riche. »
Isabelle Huppert a tourné avec un grand nombre de metteurs en scène du monde, dont aux États-Unis Otto Preminger, Michael Cimino, Hal Hartley (Amateur) et David O'Russell (J'adore Huckabees).
