Je ne citerai pas le nom du réseau bancaire traditionnel dont j'utilise les services. Simplement, pour accéder aux informations de mon compte, il me faut payer un forfait mensuel de 22 euros hors taxes. Et sur ce service, seules les transactions vieilles de 30 jours apparaissent. Pour les plus anciennes, il me faut demander par e-mail à ma banque le relevé détaillé !
Pendant ce temps-là, Facebook et Apple font partie du quotidien de centaines de millions de consommateurs dans le monde. L'interface de leurs services, redoutablement intuitive, évolue et progresse de jour en jour. Facebook se prévaut d'avoir 1,23 milliard d'utilisateurs, quand Apple a vendu depuis 2007, 500 millions d'iPhone, et depuis 2009 150 millions d'iPad, auxquels s'ajoutent encore 250 millions de Macintosh.
Point commun entre Facebook et Apple ? Ils savent beaucoup de choses sur vous que vous leur avez librement et souvent consciemment confié. Autre point commun : vous leur faîtes confiance, puisque vous leur confiez, justement, de nombreux secrets. Apple en particulier possède vos coordonnées de carte bancaire, ce qui est quasi obligatoire pour activer l'iPhone via iTunes. Facebook aussi peut vous débiter si vous lui avez donné vos coordonnées bancaires pour jouer à des jeux en ligne, ou encore stimuler des publications.
Vous imaginez aisément la suite : Si l'un ou l'autre venaient à proposer des services bancaires en ligne, pour commencer, le plus basique, un compte courant permettant de recevoir de l'argent, et d'en envoyer, associé à une carte bancaire, il y a fort à parier que des millions d'utilisateurs franchiraient le pas immédiatement. Par curiosité, par adhésion, par provocation, par choix.
Utopie ? Apple et Facebook rachètent à tour de bras depuis des mois des start-up spécialisées dans les domaines de la cryptologie et des transactions bancaires. il n'en fallait pas plus pour que d'aucun imaginent ces deux géants chassant sur les terres des flux financiers, qu'ils sont totalement capables de maitriser à l'instar des banques qui ont du apprendre à le faire informatiquement par la force des choses.
L'hypothèse d'une Apple Bank ou d'un Facebook Bank fait frémir dans les réseaux bancaires traditionnels, qui ont pourtant cruellement besoin en ce moment de renforcer leurs fonds propres, et pour cela d'attirer l'épargne mais aussi les dépôts de leurs clients.
Et si demain ce ne sont pas Apple ou Facebook qui lancent leurs services bancaires, le grand méchant Google, auquel on prédit les mêmes intentions, ne se privera pas de lancer sa Google Bank. Même si son capital confiance et sympathie est moindre...
Pendant ce temps-là, Facebook et Apple font partie du quotidien de centaines de millions de consommateurs dans le monde. L'interface de leurs services, redoutablement intuitive, évolue et progresse de jour en jour. Facebook se prévaut d'avoir 1,23 milliard d'utilisateurs, quand Apple a vendu depuis 2007, 500 millions d'iPhone, et depuis 2009 150 millions d'iPad, auxquels s'ajoutent encore 250 millions de Macintosh.
Point commun entre Facebook et Apple ? Ils savent beaucoup de choses sur vous que vous leur avez librement et souvent consciemment confié. Autre point commun : vous leur faîtes confiance, puisque vous leur confiez, justement, de nombreux secrets. Apple en particulier possède vos coordonnées de carte bancaire, ce qui est quasi obligatoire pour activer l'iPhone via iTunes. Facebook aussi peut vous débiter si vous lui avez donné vos coordonnées bancaires pour jouer à des jeux en ligne, ou encore stimuler des publications.
Vous imaginez aisément la suite : Si l'un ou l'autre venaient à proposer des services bancaires en ligne, pour commencer, le plus basique, un compte courant permettant de recevoir de l'argent, et d'en envoyer, associé à une carte bancaire, il y a fort à parier que des millions d'utilisateurs franchiraient le pas immédiatement. Par curiosité, par adhésion, par provocation, par choix.
Utopie ? Apple et Facebook rachètent à tour de bras depuis des mois des start-up spécialisées dans les domaines de la cryptologie et des transactions bancaires. il n'en fallait pas plus pour que d'aucun imaginent ces deux géants chassant sur les terres des flux financiers, qu'ils sont totalement capables de maitriser à l'instar des banques qui ont du apprendre à le faire informatiquement par la force des choses.
L'hypothèse d'une Apple Bank ou d'un Facebook Bank fait frémir dans les réseaux bancaires traditionnels, qui ont pourtant cruellement besoin en ce moment de renforcer leurs fonds propres, et pour cela d'attirer l'épargne mais aussi les dépôts de leurs clients.
Et si demain ce ne sont pas Apple ou Facebook qui lancent leurs services bancaires, le grand méchant Google, auquel on prédit les mêmes intentions, ne se privera pas de lancer sa Google Bank. Même si son capital confiance et sympathie est moindre...