« Cette femme d'affaires de 38 ans a été condamnée pour adultère à 2 ans de prison ferme, mardi 21 mars », explique un article en ligne du journal Franceinfo , qui ajoute : « Accusée par son ex-mari, dont elle est divorcée depuis fin 2014, cette Marocaine de 38 ans, propriétaire de la compagnie aérienne Dalia Air, est incarcérée depuis août 2016. »
L’article précise : « Entre-temps remariée, elle avait été condamnée en première instance à trois ans de prison ferme. » Libération rappelle qu’ « à l'époque, son second mari, l’homme d’affaires marocain Mohsine Karim-Bennani, avait pour sa part "été acquitté du premier chef d’inculpation, l’adultère", mais "a écopé de sept mois de prison pour faux et usage de faux [avant d'être] libéré le jour du rendu du jugement en appel". »
L’article précise : « Entre-temps remariée, elle avait été condamnée en première instance à trois ans de prison ferme. » Libération rappelle qu’ « à l'époque, son second mari, l’homme d’affaires marocain Mohsine Karim-Bennani, avait pour sa part "été acquitté du premier chef d’inculpation, l’adultère", mais "a écopé de sept mois de prison pour faux et usage de faux [avant d'être] libéré le jour du rendu du jugement en appel". »
Une plainte qui survient bien après le divorce
Selon Libération, l’ex-mari s'est retourné contre son ex-épouse un an et demi après leur divorce.
« Les documents mettant un terme à leur union était par ailleurs à l'abri dans un coffre dans une résidence secondaire d'Hind Achabi, à New York », précise Franceinfo, qui souligne que « l'accusée n'a jamais pu se rendre aux Etats-Unis pour les récupérer afin de les présenter à la cour. Et pour cause : visée par la plainte de son ex-mari, elle avait l'interdiction de quitter le territoire marocain, raconte encore Libération. »
Le journal ajoute : « Le couple marocain incriminé, qui a eu deux enfants depuis leur mariage, en janvier 2015, "n’est pas parvenu à convaincre le tribunal de première instance de Rabat de la légalité de leur mariage, pourtant soumis à un acte légal musulman », précisant cependant que « l'avocat de ces derniers assure que plusieurs documents prouvent la légalité de leur union et, donc, suffiraient à rejeter les accusations d'adultère. »
« Les documents mettant un terme à leur union était par ailleurs à l'abri dans un coffre dans une résidence secondaire d'Hind Achabi, à New York », précise Franceinfo, qui souligne que « l'accusée n'a jamais pu se rendre aux Etats-Unis pour les récupérer afin de les présenter à la cour. Et pour cause : visée par la plainte de son ex-mari, elle avait l'interdiction de quitter le territoire marocain, raconte encore Libération. »
Le journal ajoute : « Le couple marocain incriminé, qui a eu deux enfants depuis leur mariage, en janvier 2015, "n’est pas parvenu à convaincre le tribunal de première instance de Rabat de la légalité de leur mariage, pourtant soumis à un acte légal musulman », précisant cependant que « l'avocat de ces derniers assure que plusieurs documents prouvent la légalité de leur union et, donc, suffiraient à rejeter les accusations d'adultère. »