« Cette décision, prise dans l'opacité la plus totale, est tout simplement scandaleuse », souligne Suzanne Dalle, chargée de campagne pour Greenpeace France.
« Le ministère de l'Agriculture ne pouvait pas ignorer l'autorisation en catimini de cette substance, qualifiée comme hautement toxique pour les abeilles par l'Agence européenne de la sécurité des aliments. Il est de la responsabilité de Nicolas Hulot de faire barrage à cette décision et de soutenir la loi Biodiversité qui a signé l'interdiction des néonicotinoïdes en 2018 ».
Pour Greenpeace, cette autorisation rend caduque l'interdiction des néonicotinoïdes décidée au printemps dernier, puisque dans les faits, les agriculteurs pourront se rabattre sur le sulfoxaflor et continuer à répandre des pesticides dangereux pour les abeilles. Un bien mauvais signal pour l'issue des Etats généraux de l'alimentation qui se tiennent en ce moment même.
« Le ministère de l'Agriculture ne pouvait pas ignorer l'autorisation en catimini de cette substance, qualifiée comme hautement toxique pour les abeilles par l'Agence européenne de la sécurité des aliments. Il est de la responsabilité de Nicolas Hulot de faire barrage à cette décision et de soutenir la loi Biodiversité qui a signé l'interdiction des néonicotinoïdes en 2018 ».
Pour Greenpeace, cette autorisation rend caduque l'interdiction des néonicotinoïdes décidée au printemps dernier, puisque dans les faits, les agriculteurs pourront se rabattre sur le sulfoxaflor et continuer à répandre des pesticides dangereux pour les abeilles. Un bien mauvais signal pour l'issue des Etats généraux de l'alimentation qui se tiennent en ce moment même.