Elle était la seule patronne du petit club du CAC 40 et elle s’en va. « La directrice générale d’Engie, Isabelle Kocher, va quitter ses fonctions dès lundi 24 février, avant la fin de son mandat prévue en mai, a annoncé le géant de l’énergie dans un communiqué daté du même jour. Le conseil d’administration, qui avait décidé début février de ne pas la reconduire pour un nouveau mandat, « a entériné l’acceptation par Isabelle Kocher de la proposition qui lui a été faite de mettre fin à ses fonctions de directrice générale sans attendre le terme de son mandat prévu pour mai 2020 », selon l’entreprise » nous apprend Le Monde.
Ironie de l’histoire. Celle qui était montrée du doigt comme une exception, comme une des rares femmes à avoir réussi à prendre la tête d’un des fleurons de l’économie française, finit par s’en aller. Son règne à la tête d’Engie ayant en plus été entaché d’une guerre de chefs et de succession. « Le conseil d’administration avait annoncé le 6 février que Mme Kocher, seule femme à la tête d’une entreprise du CAC 40, ne serait pas reconduite, estimant que « l’approfondissement de la stratégie nécessitait un nouveau leadership ». Il avait désigné un trio chargé d’assurer l’intérim en attendant la nomination d’un remplaçant : Claire Waysand (secrétaire générale), qui sera directrice générale par intérim, avec Paulo Almirante (directeur des opérations) et Judith Hartmann (directrice financière). Claire Waysand a ainsi été nommée lundi directrice générale « avec effet immédiat », précise le communiqué. Engie doit maintenant publier ses résultats annuels comme prévu le 27 février » poursuit Le Monde.
Diplômée des Mines à Paris et agrégée de physique après Normale Paris, Isabelle Kocher a fait toute sa carrière dans Engie. A 53 ans à peine, sa carrière n’est pas terminée. Reste à suivre ce qu’elle fera ensuite. Une carrière d’administratrice pour remplir les quotas de femmes, ou relèvera-t-elle un autre défi en prenant la tête d’un autre groupe ?
Ironie de l’histoire. Celle qui était montrée du doigt comme une exception, comme une des rares femmes à avoir réussi à prendre la tête d’un des fleurons de l’économie française, finit par s’en aller. Son règne à la tête d’Engie ayant en plus été entaché d’une guerre de chefs et de succession. « Le conseil d’administration avait annoncé le 6 février que Mme Kocher, seule femme à la tête d’une entreprise du CAC 40, ne serait pas reconduite, estimant que « l’approfondissement de la stratégie nécessitait un nouveau leadership ». Il avait désigné un trio chargé d’assurer l’intérim en attendant la nomination d’un remplaçant : Claire Waysand (secrétaire générale), qui sera directrice générale par intérim, avec Paulo Almirante (directeur des opérations) et Judith Hartmann (directrice financière). Claire Waysand a ainsi été nommée lundi directrice générale « avec effet immédiat », précise le communiqué. Engie doit maintenant publier ses résultats annuels comme prévu le 27 février » poursuit Le Monde.
Diplômée des Mines à Paris et agrégée de physique après Normale Paris, Isabelle Kocher a fait toute sa carrière dans Engie. A 53 ans à peine, sa carrière n’est pas terminée. Reste à suivre ce qu’elle fera ensuite. Une carrière d’administratrice pour remplir les quotas de femmes, ou relèvera-t-elle un autre défi en prenant la tête d’un autre groupe ?