Après le commentaire de Marlène Schiappa sur Twitter concernant l'affaire Daval, Christophe Castaner l'a reprise, arguant qu' "Un ministre n'a pas à commenter une affaire judiciaire."
Ainsi, quand l'avocat de Jonathann Daval annonçait que son client avait tué sa femme "par accident", la secrétaire d'Etat à l'Egalité femmes-hommes, a été piquée au vif par ses propos, qu'elle a très vite jugés polémiques. Depuis New York où elle été au sommet des "Women Leaders", la secrétaire d'Etat a tweeté, assurant qu'elle trouvait "scandaleuse" la défense du mari d'Alexia Daval.
Invité le lendemain sur France Inter, le patron de La République en marche, l'a reprise : "Un ministre n'a pas à commenter une affaire judiciaire."
Comme l'illustre un article en ligne du Journal du Dimanche, interrogé au même moment, sur Europe 1, le porte-parole du gouvernement Benjamin Griveaux a été plus nuancé : "Par définition, il n'y a pas de commentaires à faire sur les affaires en cours […] Mais Marlène Schiappa n'est pas intervenue dans le travail de la justice, elle a rappelé le combat qu'elle mène : dans le quinquennat les violences faites aux femmes [sont] une priorité."
Lire l'intégralité de l'article du Journal du Dimanche ici.
Ainsi, quand l'avocat de Jonathann Daval annonçait que son client avait tué sa femme "par accident", la secrétaire d'Etat à l'Egalité femmes-hommes, a été piquée au vif par ses propos, qu'elle a très vite jugés polémiques. Depuis New York où elle été au sommet des "Women Leaders", la secrétaire d'Etat a tweeté, assurant qu'elle trouvait "scandaleuse" la défense du mari d'Alexia Daval.
Invité le lendemain sur France Inter, le patron de La République en marche, l'a reprise : "Un ministre n'a pas à commenter une affaire judiciaire."
Comme l'illustre un article en ligne du Journal du Dimanche, interrogé au même moment, sur Europe 1, le porte-parole du gouvernement Benjamin Griveaux a été plus nuancé : "Par définition, il n'y a pas de commentaires à faire sur les affaires en cours […] Mais Marlène Schiappa n'est pas intervenue dans le travail de la justice, elle a rappelé le combat qu'elle mène : dans le quinquennat les violences faites aux femmes [sont] une priorité."
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