La route sera encore longue avant une éventuelle commercialisation. Mais les premiers résultats sont prometteurs et ont été abondamment communiqués. Lundi 28 septembre, les résultats préliminaires d’une étude clinique sur un spray nasal anti covid par une société australienne ont suscité l’intérêt d’investisseurs et du public. « Développé par la biotech australienne Ena Respiratory, ce traitement, référencé à ce stade sous son nom de code « INNA-051 », a en effet réduit jusqu'à 96 % la présence du coronavirus chez des furets qui avaient été exposés au SARS-CoV-2. Des résultats prometteurs, mais qui demandent encore à être confirmés chez l'humain. D'autant que l'étude initiale, parue sur le site de pré-print bioRxiv , doit encore être validée par la communauté scientifique » explique CNEWS.
Très facile d’utilisation, cette piste de spray nasal pourrait être une solution accessible dans la lutte contre ce virus. Il s’agit d’ailleurs de la première solution médicale sur laquelle les recherches sont avancées qui est mise en avant, hormis les différents vaccins en cours de développement.
« Dans le meilleur des cas, il suffirait de l'inhaler une à deux fois par semaine pour prévenir l'infection dans les populations à risque, personnes âgées et professionnels du soin en tête. Si rien n'est encore acquis, les responsables d'Ena Respiratory se disent prêt à passer aux essais cliniques sur l'homme d'ici à quatre mois » appuie la chaine d’info en continu.
Pour la petite pousse de la biotech, cette annonce qui a fait le tour du monde est en tout cas de bon augure. Un peu plus de 7 millions d’euros (11,7 millions de dollars australiens) ont ainsi été levés pour que les travaux soient poursuivis. Un coup de pouce important pour le Français qui a fondé et dirige cette société australienne. Formé en France avant de travailler au Royaume-Uni puis en Australie depuis 2010, c’est pourtant un traitement australien qui serait mis sur le marché en cas de succès.
Très facile d’utilisation, cette piste de spray nasal pourrait être une solution accessible dans la lutte contre ce virus. Il s’agit d’ailleurs de la première solution médicale sur laquelle les recherches sont avancées qui est mise en avant, hormis les différents vaccins en cours de développement.
« Dans le meilleur des cas, il suffirait de l'inhaler une à deux fois par semaine pour prévenir l'infection dans les populations à risque, personnes âgées et professionnels du soin en tête. Si rien n'est encore acquis, les responsables d'Ena Respiratory se disent prêt à passer aux essais cliniques sur l'homme d'ici à quatre mois » appuie la chaine d’info en continu.
Pour la petite pousse de la biotech, cette annonce qui a fait le tour du monde est en tout cas de bon augure. Un peu plus de 7 millions d’euros (11,7 millions de dollars australiens) ont ainsi été levés pour que les travaux soient poursuivis. Un coup de pouce important pour le Français qui a fondé et dirige cette société australienne. Formé en France avant de travailler au Royaume-Uni puis en Australie depuis 2010, c’est pourtant un traitement australien qui serait mis sur le marché en cas de succès.