Pouvoir être maman et travailler est de plus en plus possible. Un mode de vie exigeant qui permet d’allier ambition professionnelle et familiale en luttant au quotidien contre les différences de traitement que cela implique.
Le site Madmoizelle revient sur cette situation en mettant en avant une étude australienne sur le sujet. « Certes, de plus en plus de femmes peuvent jongler entre leur carrière et leur famille, mais pas sans y risquer leur santé, selon cette étude. C’est plus précisément leur bien-être mental qui est susceptible d’être affecté (anxiété et dépression notamment) » résume le site.
Bien s’occuper de sa famille tout en donnant l’impression que ça n’a aucune influence sur la disponibilité et l’efficacité professionnelle, c’est pesant. D’autant que les expériences de stress, de culpabilité ou les réactions négatives à l’annonce d’une grossesse et donc d’une absence ponctuelle, montrent bien que le milieu professionnel a facilement un rapport de méfiance avec la maternité.
Un rapport que certaines femmes sont tentées de contrer en faisant du zèle. « Afin de montrer qu’elles n’avaient pas à choisir et pouvaient effectivement tout faire, les femmes — y compris celles ayant des enfants — ont cherché à ne pas démériter, créant un peu une image de superwoman qui peut tout gérer en même temps : travail et famille » explique le site.
Avec une moyenne de participation aux taches domestiques et familiales encore bien supérieure à celle des hommes, la première conséquence est la diminution moyenne du nombre d’heures de travail. « Il est tout simplement dangereux d’encourager les femmes à travailler davantage pour rattraper leur retard. C’est la découverte majeure de l’étude citée par Broadly » explique le site. Les femmes qui tenteraient de rattraper leur retard d’heures de travail tout en restant autant impliqué à la maison risquent d’être touchées par des problèmes de santé. L’étude fixe la limite à 39 heures de travail hebdomadaire « les chercheuses se sont aperçues qu’au-delà de ce seuil, les femmes comme les hommes avaient de plus grands risques de développer des problèmes de santé mentale comme la dépression ou l’anxiété. »
Lire ici en intégralité l’article sur le site Madmoizelle.com
Le site Madmoizelle revient sur cette situation en mettant en avant une étude australienne sur le sujet. « Certes, de plus en plus de femmes peuvent jongler entre leur carrière et leur famille, mais pas sans y risquer leur santé, selon cette étude. C’est plus précisément leur bien-être mental qui est susceptible d’être affecté (anxiété et dépression notamment) » résume le site.
Bien s’occuper de sa famille tout en donnant l’impression que ça n’a aucune influence sur la disponibilité et l’efficacité professionnelle, c’est pesant. D’autant que les expériences de stress, de culpabilité ou les réactions négatives à l’annonce d’une grossesse et donc d’une absence ponctuelle, montrent bien que le milieu professionnel a facilement un rapport de méfiance avec la maternité.
Un rapport que certaines femmes sont tentées de contrer en faisant du zèle. « Afin de montrer qu’elles n’avaient pas à choisir et pouvaient effectivement tout faire, les femmes — y compris celles ayant des enfants — ont cherché à ne pas démériter, créant un peu une image de superwoman qui peut tout gérer en même temps : travail et famille » explique le site.
Avec une moyenne de participation aux taches domestiques et familiales encore bien supérieure à celle des hommes, la première conséquence est la diminution moyenne du nombre d’heures de travail. « Il est tout simplement dangereux d’encourager les femmes à travailler davantage pour rattraper leur retard. C’est la découverte majeure de l’étude citée par Broadly » explique le site. Les femmes qui tenteraient de rattraper leur retard d’heures de travail tout en restant autant impliqué à la maison risquent d’être touchées par des problèmes de santé. L’étude fixe la limite à 39 heures de travail hebdomadaire « les chercheuses se sont aperçues qu’au-delà de ce seuil, les femmes comme les hommes avaient de plus grands risques de développer des problèmes de santé mentale comme la dépression ou l’anxiété. »
Lire ici en intégralité l’article sur le site Madmoizelle.com