L’instruction obligatoire n’est pas l’école obligatoire. Ce qui était vrai avec la limite d’âge à 6 ans, devrait le rester avec le nouveau seuil à 3 ans. « L’Assemblée nationale a voté, dans la soirée du mercredi 13 février, l’abaissement de l’âge de l’instruction obligatoire de 6 ans à 3 ans. Cette mesure-phare du projet de loi « Pour une école de la confiance » était vantée par le ministre de l’éducation, Jean-Michel Blanquer, comme « un marqueur républicain » » apporte Le Monde .
Il s’agit d’un engagement pris par Emmanuel Macron après son élection en mai 2018. La nouvelle règle sera appliquée dès la rentrée de l’année prochaine. « L’Assemblée nationale a finalement adopté la première version du texte, qui instaurait l’instruction obligatoire à 3 ans « pour chaque enfant » ; une formule défendue par le gouvernement dans un souci de « concision » du texte. Celui-ci avait effectivement été modifié en commission des lois, sur un amendement de la gauche. Il précisait alors « chaque enfant, de tout sexe, français ou étranger ». En séance, les députés ont longuement débattu de cette modification. Les membres du groupe Les Républicains (LR) ont défendu un amendement similaire à celui du gouvernement, le député Maxime Minot (LR, Oise) mettant en garde contre un texte « bavard », de même que Frédéric Reiss (LR, Bas-Rhin). » raconte le quotidien français.
Jusqu’ici pour les personnes qui le souhaitaient il était possible de faire l’école à la maison. Mais à partir du sixième anniversaire de l’enfant, il fallait demander l’autorisation à la mairie. Or si cette disposition est toujours d’actualité un décret plus autoritaire a été proposé par le gouvernement puis adopté. Il s’agit de « la possibilité pour le représentant du ministère dans l’académie de scolariser les enfants contre l’avis du maire de la commune, sur délégation du préfet. La rapporteure de la loi, Anne-Christine Lang (La République en marche, LRM, Paris), a précisé que cette mesure visait notamment à protéger les enfants étrangers contre les « maires récalcitrants » » explique Le Monde.
Pour les nombreuses mamans qui ont mis leur vie professionnelle de côté par des congés parentaux qui s’enchainent ou qui ont tout simplement tourné le dos aux opportunités professionnelles, de nombreuses questions se posent. Reste à observer le comportement des mairies qui vont recevoir un nombre beaucoup plus importants de demandes d’école à la maison. Mais surtout du ministère qui pourrait faire fi de la volonté des parents.
Il s’agit d’un engagement pris par Emmanuel Macron après son élection en mai 2018. La nouvelle règle sera appliquée dès la rentrée de l’année prochaine. « L’Assemblée nationale a finalement adopté la première version du texte, qui instaurait l’instruction obligatoire à 3 ans « pour chaque enfant » ; une formule défendue par le gouvernement dans un souci de « concision » du texte. Celui-ci avait effectivement été modifié en commission des lois, sur un amendement de la gauche. Il précisait alors « chaque enfant, de tout sexe, français ou étranger ». En séance, les députés ont longuement débattu de cette modification. Les membres du groupe Les Républicains (LR) ont défendu un amendement similaire à celui du gouvernement, le député Maxime Minot (LR, Oise) mettant en garde contre un texte « bavard », de même que Frédéric Reiss (LR, Bas-Rhin). » raconte le quotidien français.
Jusqu’ici pour les personnes qui le souhaitaient il était possible de faire l’école à la maison. Mais à partir du sixième anniversaire de l’enfant, il fallait demander l’autorisation à la mairie. Or si cette disposition est toujours d’actualité un décret plus autoritaire a été proposé par le gouvernement puis adopté. Il s’agit de « la possibilité pour le représentant du ministère dans l’académie de scolariser les enfants contre l’avis du maire de la commune, sur délégation du préfet. La rapporteure de la loi, Anne-Christine Lang (La République en marche, LRM, Paris), a précisé que cette mesure visait notamment à protéger les enfants étrangers contre les « maires récalcitrants » » explique Le Monde.
Pour les nombreuses mamans qui ont mis leur vie professionnelle de côté par des congés parentaux qui s’enchainent ou qui ont tout simplement tourné le dos aux opportunités professionnelles, de nombreuses questions se posent. Reste à observer le comportement des mairies qui vont recevoir un nombre beaucoup plus importants de demandes d’école à la maison. Mais surtout du ministère qui pourrait faire fi de la volonté des parents.