Est-ce que dépenser son budget vacances quand il faut être rentré à 18H et que tous les lieux culturels ou touristiques sont fermés vaut la peine ? La question se pose parmi d’autres à quelques jours du début des vacances de février. « À partir du samedi 6 février, les écoliers de la zone A, qui comprend les académies de Besançon, Bordeaux, Clermont-Ferrand, Dijon, Grenoble, Limoges, Lyon et Poitiers, vont pouvoir ranger leur cartable pour deux semaines. Puis, suivront les zones B et C pour des vacances qui s’étaleront jusqu’au 8 mars. Des congés d’hiver qui s’annoncent perturbés par le virus du Covid-19 qui circule activement sur le territoire. On fait le point sur ce qu’il sera possible ou non de faire » propose aimablement Ouest France.
Il n’est pour l’heure pas interdit de partir en vacances. Mais en le répétant sans cesse, le gouvernement fait mine d’oublier que les autres restrictions ont tout de même quelques incidences sur le principe des vacances. Car les déplacements, sorties, promenades ou autres activités sont évidemment menacées par le couvre-feu et les fermetures administratives de tous les endroits récréatifs.
D’autant que pour ceux qui pensaient louer des biens à des particuliers peuvent se heurter à des interdictions locales. « Alors que le département des Alpes-Maritimes est un des plus touchés par l’épidémie, le maire de Nice Christian Estrosi a pris un arrêté pour interdire les locations saisonnières du 6 au 20 février » explique le quotidien local. Tandis que les départs à l’étranger sont interdits, sauf motif impérieux. Et pour ceux qui pensaient passer entre les gouttes en partant prendre le soleil en Outre-mer, Jean Castex a été clair : «Tous les déplacements en provenance et en direction de tous nos territoires ultramarins seront également soumis désormais à la production de motifs impérieux à compter de ce dimanche ».
Il n’est pour l’heure pas interdit de partir en vacances. Mais en le répétant sans cesse, le gouvernement fait mine d’oublier que les autres restrictions ont tout de même quelques incidences sur le principe des vacances. Car les déplacements, sorties, promenades ou autres activités sont évidemment menacées par le couvre-feu et les fermetures administratives de tous les endroits récréatifs.
D’autant que pour ceux qui pensaient louer des biens à des particuliers peuvent se heurter à des interdictions locales. « Alors que le département des Alpes-Maritimes est un des plus touchés par l’épidémie, le maire de Nice Christian Estrosi a pris un arrêté pour interdire les locations saisonnières du 6 au 20 février » explique le quotidien local. Tandis que les départs à l’étranger sont interdits, sauf motif impérieux. Et pour ceux qui pensaient passer entre les gouttes en partant prendre le soleil en Outre-mer, Jean Castex a été clair : «Tous les déplacements en provenance et en direction de tous nos territoires ultramarins seront également soumis désormais à la production de motifs impérieux à compter de ce dimanche ».