Il continue à fasciner. En témoigne les documentaires qui ont été fait à propos du Concorde. « Il y eut notamment Concorde, le rêve supersonique (2007), de Thomas Risch et Laurent Portes, rediffusé en mars par France 5, qui proposait une analyse très développée de son histoire. Puis Concorde’s Last Flight (2010), de Christopher Spencer, un travail également très étayé qui associait documents d’archives, témoignages et scènes reconstituées d’un goût discutable » rapporte Le Monde à l’occasion de la sortie d’un nouveau documentaire diffusé par Arte.
Le Concorde, la fin tragique du supersonique (2020) revient sur la destinée de cet avion, qui s’attarde largement sur l’accident du 25 juillet 2020. « Ce 25 juillet 2000 est revécu en détail, commenté par l’un des ingénieurs de la tour de contrôle aux commandes ce jour-là, par un pilote collègue de ceux qui ont disparu dans l’accident et par des témoins présents à l’hôtel sur lequel s’est abattu le supersonique, qui avait pris feu juste après le décollage. A cela, qui était déjà connu, les auteurs ont cru bon non seulement d’inclure des images montrant l’hôtesse allemande qui travaillait pour Air France, morte lors de la catastrophe, mais aussi de faire pleurer son vieux père, face caméra. On entend aussi le témoignage de touristes embarqués sur le vol jumeau qui transportait, le matin de l’accident fatal, l’autre moitié du groupe » appuie le quotidien français qui a pu regarder en avance le documentaire et lui reproche son ton.
« Mais quel intérêt cela a-t-il réellement ? Et que fait ce documentaire proposé par la branche allemande d’Arte (en coproduction avec la ZDF) sur une chaîne dont on attend, même au creux de l’été, autre chose que du voyeurisme et du sensationnalisme ? » conclue l’article.
Le Concorde, la fin tragique du supersonique (2020) revient sur la destinée de cet avion, qui s’attarde largement sur l’accident du 25 juillet 2020. « Ce 25 juillet 2000 est revécu en détail, commenté par l’un des ingénieurs de la tour de contrôle aux commandes ce jour-là, par un pilote collègue de ceux qui ont disparu dans l’accident et par des témoins présents à l’hôtel sur lequel s’est abattu le supersonique, qui avait pris feu juste après le décollage. A cela, qui était déjà connu, les auteurs ont cru bon non seulement d’inclure des images montrant l’hôtesse allemande qui travaillait pour Air France, morte lors de la catastrophe, mais aussi de faire pleurer son vieux père, face caméra. On entend aussi le témoignage de touristes embarqués sur le vol jumeau qui transportait, le matin de l’accident fatal, l’autre moitié du groupe » appuie le quotidien français qui a pu regarder en avance le documentaire et lui reproche son ton.
« Mais quel intérêt cela a-t-il réellement ? Et que fait ce documentaire proposé par la branche allemande d’Arte (en coproduction avec la ZDF) sur une chaîne dont on attend, même au creux de l’été, autre chose que du voyeurisme et du sensationnalisme ? » conclue l’article.