Cursus, accès aux stages, durée, rémunération… Pour les stagiaires, de nombreuses inégalités persistent, notamment sur ces questions. C’est ce que révèle une étude menée par le Ministère de l’Enseignement supérieur. Cette dernière porte sur l’année 2013-2014, et uniquement sur les établissements publics comme les universités, IEP, IUT et écoles d’ingénieurs. Quand bien même, lorsqu’il s’agit de stages, les disparités sont nombreuses pour les 1,2 million de stagiaires comptabilisés par l’Éducation nationale en 2014.
Souvent porte d’entrée « dans l’accès à l'emploi », selon Le Monde, ce passage obligé reste néanmoins source de disparités. En premier lieu, cela concerne certains cursus. Ainsi, « les étudiants en licence générale sont seulement 15 % à faire l’expérience de la vie active dans le cadre de leur cursus » souligne Le Monde, contre 79% des étudiants en licence professionnelle qui eux, font des stages. D’ailleurs, en 2015, « 92 % des titulaires d’une licence pro ont trouvé un emploi dans les 30 mois qui suivent leur diplôme. Alors que le taux d’insertion tombe à 60 % pour les diplômés de licences générales », toujours selon Le Monde.
Mais ce sont dans les écoles publiques d’ingénieurs que le pourcentage d’étudiants stagiaires est le plus élevé avec 73% des élèves à faire un stage en entreprise. Viennent ensuite les IUT où les étudiants plébiscitent les stages et sont 63% à en effectuer. En master, 55% des étudiants effectuent un stage, contre 15% en licence. Le taux d’insertion quant à lui, pour les étudiants en master, est de 85 % ,18 mois après l’obtention du diplôme, d’après l’enquête annuelle du Ministère de l’Éducation nationale, publiée fin 2015.
En terme de rémunération, malgré les améliorations apportées par la loi de 2014 sur l’encadrement des stages, d’importantes variations existent. Mais, indique Le Monde, « les étudiants en licence professionnelle (83 %) comme les élèves ingénieurs (74 %) obtiennent plus souvent que les autres une indemnisation. » En revanche, c’est plus compliqué pour les élèves en licence générale d’être rémunérés lors d’un stage. Seuls 20% y parviennent. Aujourd'hui encore, quand il est question de stage, les étudiants ne sont pas toujours logés à la même enseigne.
Souvent porte d’entrée « dans l’accès à l'emploi », selon Le Monde, ce passage obligé reste néanmoins source de disparités. En premier lieu, cela concerne certains cursus. Ainsi, « les étudiants en licence générale sont seulement 15 % à faire l’expérience de la vie active dans le cadre de leur cursus » souligne Le Monde, contre 79% des étudiants en licence professionnelle qui eux, font des stages. D’ailleurs, en 2015, « 92 % des titulaires d’une licence pro ont trouvé un emploi dans les 30 mois qui suivent leur diplôme. Alors que le taux d’insertion tombe à 60 % pour les diplômés de licences générales », toujours selon Le Monde.
Mais ce sont dans les écoles publiques d’ingénieurs que le pourcentage d’étudiants stagiaires est le plus élevé avec 73% des élèves à faire un stage en entreprise. Viennent ensuite les IUT où les étudiants plébiscitent les stages et sont 63% à en effectuer. En master, 55% des étudiants effectuent un stage, contre 15% en licence. Le taux d’insertion quant à lui, pour les étudiants en master, est de 85 % ,18 mois après l’obtention du diplôme, d’après l’enquête annuelle du Ministère de l’Éducation nationale, publiée fin 2015.
En terme de rémunération, malgré les améliorations apportées par la loi de 2014 sur l’encadrement des stages, d’importantes variations existent. Mais, indique Le Monde, « les étudiants en licence professionnelle (83 %) comme les élèves ingénieurs (74 %) obtiennent plus souvent que les autres une indemnisation. » En revanche, c’est plus compliqué pour les élèves en licence générale d’être rémunérés lors d’un stage. Seuls 20% y parviennent. Aujourd'hui encore, quand il est question de stage, les étudiants ne sont pas toujours logés à la même enseigne.