Ignorer une fatigue qui s’accumule est le premier pas vers les ennuis de santé. Surmenage, virus, difficultés de santé en tous genres peuvent survenir. « Selon une récente étude de Santé Publique France, un tiers des Français dorment moins de 6 heures par nuit. Si l'on ferme moins longtemps l'œil, nos nuits sont également souvent peu réparatrices. Certaines personnes accumulent une dette de sommeil sans vraiment s’en rendre compte et en subissent les conséquences néfastes » s’interroge Le Figaro Madame dans un article consacré aux signes d’une fatigue qui s’accumulent .
En s’appuyant sur l’expertise d’un médecin et d’une chronobiologiste, l’article montre que nous sommes plus concernés que ce que nous pourrions le penser. Le temps que l’on met à émerger le matin, le temps passé sous l’eau chaude de la douche, des moments de somnolence durant la journée sont ainsi les premiers symptômes relevés. Mais ils ne sont pas les seuls. Envies de manger décaler, maux de tête, problèmes de concentration ou caractère à cran sont aussi montrés comme révélateur qu’il faut plus ou mieux dormir. « Chaque jour, notre cerveau emmagasine des milliers d'informations. À la nuit tombée, ce dernier n'est pas inactif, bien au contraire : il sélectionne, trie et classe le moindre souvenir. Néanmoins, la fatigue accumulée freine cette mécanique bien huilée. «Les troubles du sommeil ont des conséquences négatives sur notre capacité de concentration, signale le Dr Philippe Beaulieu (médecin et spécialiste du sommeil). Et sans cette attention soutenue, on oublie plus facilement ce que l'on vient de lire ou d'entendre» » rapporte le magazine.
Le rapport étroit entre nos journées et nos nuits est une évidence. Mais nous avons souvent tendance à avoir du mal à nous extraire du présent pour considérer notre hygiène de vie dans son ensemble. Mal dormir c’est être mal quand on est éveillé, et inversement.
Lire en intégralité l’article de Madame Le Figaro sur le site du magazine
En s’appuyant sur l’expertise d’un médecin et d’une chronobiologiste, l’article montre que nous sommes plus concernés que ce que nous pourrions le penser. Le temps que l’on met à émerger le matin, le temps passé sous l’eau chaude de la douche, des moments de somnolence durant la journée sont ainsi les premiers symptômes relevés. Mais ils ne sont pas les seuls. Envies de manger décaler, maux de tête, problèmes de concentration ou caractère à cran sont aussi montrés comme révélateur qu’il faut plus ou mieux dormir. « Chaque jour, notre cerveau emmagasine des milliers d'informations. À la nuit tombée, ce dernier n'est pas inactif, bien au contraire : il sélectionne, trie et classe le moindre souvenir. Néanmoins, la fatigue accumulée freine cette mécanique bien huilée. «Les troubles du sommeil ont des conséquences négatives sur notre capacité de concentration, signale le Dr Philippe Beaulieu (médecin et spécialiste du sommeil). Et sans cette attention soutenue, on oublie plus facilement ce que l'on vient de lire ou d'entendre» » rapporte le magazine.
Le rapport étroit entre nos journées et nos nuits est une évidence. Mais nous avons souvent tendance à avoir du mal à nous extraire du présent pour considérer notre hygiène de vie dans son ensemble. Mal dormir c’est être mal quand on est éveillé, et inversement.
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