Une quarantaine de films, sous la direction des plus grands noms du cinéma des années 1960 et 1970. Raquel Wlech est morte à la suite d’une maladie à l’âge de 82 ans. « Née le 5 septembre 1940, à Chicago dans l’Illinois, d’un père brésilien, ingénieur en aéronautique et d’une mère américaine, Jo Raquel Tejada suit très jeune des cours de danse et de comédie dramatique. Elle est en dernière année de lycée quand, en 1957, elle se présente et gagne le concours de Miss Fairest of the Fair à San Diego (Californie), premier d’une longue série. Deux ans plus tard, elle épouse James Welch dont elle prend le nom. Mannequin, elle commence à décrocher des petits rôles dans le cinéma. Le producteur Patrick Curtis la repère, et souhaite lancer sa carrière. Raquel Welch se retrouve ainsi au côté d’Elvis Presley dans L’Homme à tout faire de John Rich (1964) puis dans son premier film de science-fiction, Le Voyage fantastique de Richard Fleischer (1966), où elle fait partie de l’équipage (miniaturisé) chargé d’aller explorer le corps humain. L’actrice y gagne une petite notoriété » résume Le Monde.
L’actrice campe quasiment tout au long de sa carrière un rôle de beauté fatale sans que son charisme dépasse sa beauté. A quelques exceptions près, souligne la nécrologie du « Monde » : « Sous la direction de Richard Lester et face à la perverse Milady (Faye Dunaway), elle compose dans Les Trois Mousquetaires (1973) une délicieuse Constance Bonacieux. Son interprétation du personnage de Dumas lui vaut de recevoir le Golden Globe de la meilleure actrice. Rôle qu’elle reprend l’année d’après, avec le même cinéaste, dans On l’appelait Milady. C’est néanmoins James Ivory qui, dans The Wild Party (1975), donne l’opportunité à Raquel Welch de révéler son talent. S’inspirant de la légende de Hollywood (la carrière de l’acteur Fatty Arbuckle qui sombra dans le drame et le scandale), le cinéaste décrit dans ce film le déclin d’une star à l’aube du parlant. Milieu décadent, passion qui tourne mal, sauvagerie absolue fournissent à Raquel Welch un écrin ».
L’actrice campe quasiment tout au long de sa carrière un rôle de beauté fatale sans que son charisme dépasse sa beauté. A quelques exceptions près, souligne la nécrologie du « Monde » : « Sous la direction de Richard Lester et face à la perverse Milady (Faye Dunaway), elle compose dans Les Trois Mousquetaires (1973) une délicieuse Constance Bonacieux. Son interprétation du personnage de Dumas lui vaut de recevoir le Golden Globe de la meilleure actrice. Rôle qu’elle reprend l’année d’après, avec le même cinéaste, dans On l’appelait Milady. C’est néanmoins James Ivory qui, dans The Wild Party (1975), donne l’opportunité à Raquel Welch de révéler son talent. S’inspirant de la légende de Hollywood (la carrière de l’acteur Fatty Arbuckle qui sombra dans le drame et le scandale), le cinéaste décrit dans ce film le déclin d’une star à l’aube du parlant. Milieu décadent, passion qui tourne mal, sauvagerie absolue fournissent à Raquel Welch un écrin ».