Les femmes, leaders du prochain millénaire
L'étude sur la "génération millénium", menée par Euro RSCG vient recadrer les idées reçues sur la place de la femme dans nos sociétés. Il s'avère que cette "génération millénium" représentée par de jeunes spécialistes des réseaux sociaux, des jeunes plus mobiles et interconnectés que jamais, ne perçoit plus l'égalité des genres de la même manière que leurs ainés. L'idée de la femme au foyer, un cliché hérité des temps anciens, est en effet considérée comme grotesque. L'égalité des genres, si elle reste encore mal appliquée dans la vie de tous les jours, n'en demeure pas moins unanimement acceptée. Les hommes commenceraient même à perdre de leurs privilèges face aux femmes, à un tel point que bon nombre de futurs parents, s’ils pouvaient choisir le sexe de leur enfant, choisiraient d'avoir une fille plutôt qu'un garçon. Cette montée des privilèges accordés aux femmes est un phénomène grandissant, qu'une étude de l'Université du Texas a corrélé avec une pénurie d'hommes dans les universités.
Quand le célibat est la voie du succès professionnel
L’étude de l'Université du Texas a mis le doigt sur un effet pour le moins incongru. À savoir que moins il y a d’hommes dans une université, plus les femmes qui en sortent sont diplômés, et accèdent à des carrières professionnelles brillantes. Les demoiselles se considérant comme les moins séduisantes seraient d’ailleurs les plus sujettes à la réussite, car elles seraient plus intéressées par leurs diplômes que par l’idée de fonder une famille. Ainsi, la période universitaire représenterait une étape déterminante dans l’accession à ce nouveau millénaire où les femmes deviendront les leaders. La pénurie d’hommes augmente la difficulté de rencontrer son alter ego, et les femmes s’intéressent beaucoup moins au flirt. Ainsi, 60 % des universitaires raflant des masters sont des femmes, et 57 % des bacheliers le sont également. Une autre étude vient appuyer ce phénomène démontrant que, dans un état américain, moins il y a de célibataires, et plus les femmes ont de hauts revenus, mais également moins d’enfants. Ce qui reflète le fait que les femmes trouvent leur conjoint tardivement, et seulement après avoir réussi leur carrière. Une carrière qui s’est donc construite dans le célibat, ou du moins sans flirt et sans volonté de fonder une famille.
La difficulté de fonder une famille
Au-delà du manque d'hommes dans les universités, les femmes d'aujourd'hui sont plus éduquées qu'autrefois et savent pertinemment que fonder une famille apporte son lot de difficultés et d'insécurité. Une fois encore, c’est particulièrement chez les femmes se sentant les moins désirables que l’on constate ce sentiment d’incapacité à fonder une famille sur de bonnes bases. Fonder une famille exige d'être sûr d'avoir trouvé le bon partenaire, un époux avec qui la relation peut être durable. Le développement éducatif et économique des femmes est ainsi accompagné et soutenu par un "paradoxe sexuel", comme le dit un chercheur en marketing, Kristina Durante. Les femmes sont de plus en plus exigeantes dans leur choix de partenaires, car elles veulent de la stabilité et de la sécurité. Un niveau d'exigence plus élevé qui, combiné au manque d'hommes, renforce le choix d'une carrière professionnelle avant tout.
L'étude sur la "génération millénium", menée par Euro RSCG vient recadrer les idées reçues sur la place de la femme dans nos sociétés. Il s'avère que cette "génération millénium" représentée par de jeunes spécialistes des réseaux sociaux, des jeunes plus mobiles et interconnectés que jamais, ne perçoit plus l'égalité des genres de la même manière que leurs ainés. L'idée de la femme au foyer, un cliché hérité des temps anciens, est en effet considérée comme grotesque. L'égalité des genres, si elle reste encore mal appliquée dans la vie de tous les jours, n'en demeure pas moins unanimement acceptée. Les hommes commenceraient même à perdre de leurs privilèges face aux femmes, à un tel point que bon nombre de futurs parents, s’ils pouvaient choisir le sexe de leur enfant, choisiraient d'avoir une fille plutôt qu'un garçon. Cette montée des privilèges accordés aux femmes est un phénomène grandissant, qu'une étude de l'Université du Texas a corrélé avec une pénurie d'hommes dans les universités.
Quand le célibat est la voie du succès professionnel
L’étude de l'Université du Texas a mis le doigt sur un effet pour le moins incongru. À savoir que moins il y a d’hommes dans une université, plus les femmes qui en sortent sont diplômés, et accèdent à des carrières professionnelles brillantes. Les demoiselles se considérant comme les moins séduisantes seraient d’ailleurs les plus sujettes à la réussite, car elles seraient plus intéressées par leurs diplômes que par l’idée de fonder une famille. Ainsi, la période universitaire représenterait une étape déterminante dans l’accession à ce nouveau millénaire où les femmes deviendront les leaders. La pénurie d’hommes augmente la difficulté de rencontrer son alter ego, et les femmes s’intéressent beaucoup moins au flirt. Ainsi, 60 % des universitaires raflant des masters sont des femmes, et 57 % des bacheliers le sont également. Une autre étude vient appuyer ce phénomène démontrant que, dans un état américain, moins il y a de célibataires, et plus les femmes ont de hauts revenus, mais également moins d’enfants. Ce qui reflète le fait que les femmes trouvent leur conjoint tardivement, et seulement après avoir réussi leur carrière. Une carrière qui s’est donc construite dans le célibat, ou du moins sans flirt et sans volonté de fonder une famille.
La difficulté de fonder une famille
Au-delà du manque d'hommes dans les universités, les femmes d'aujourd'hui sont plus éduquées qu'autrefois et savent pertinemment que fonder une famille apporte son lot de difficultés et d'insécurité. Une fois encore, c’est particulièrement chez les femmes se sentant les moins désirables que l’on constate ce sentiment d’incapacité à fonder une famille sur de bonnes bases. Fonder une famille exige d'être sûr d'avoir trouvé le bon partenaire, un époux avec qui la relation peut être durable. Le développement éducatif et économique des femmes est ainsi accompagné et soutenu par un "paradoxe sexuel", comme le dit un chercheur en marketing, Kristina Durante. Les femmes sont de plus en plus exigeantes dans leur choix de partenaires, car elles veulent de la stabilité et de la sécurité. Un niveau d'exigence plus élevé qui, combiné au manque d'hommes, renforce le choix d'une carrière professionnelle avant tout.