Définir le profil type du végétarien français ? Mystère et boule de gomme. Beaucoup d’idées reçues circulent. Du coup, le VeggieWorld, qui s’est tenu au début du mois d’avril à Paris, est l’occasion de mieux connaître les Français qui se disent végétariens. VeggieWorld est le plus grand salon consacré aux régimes végétariens en Europe. Par conséquent, il représente une importante mine d’informations.
Contre toute attente, le végétarien français se fond dans « une population hétérogène », peut-on lire dans madame.lefigaro.fr : des seniors, des jeunes, des étudiants, de jeunes actifs, des familles, des couples avec enfants… Malgré tout, une constante persiste : les femmes sont surreprésentées. Si « on ne peut pas parler de prototype de personne vegan ou végétarienne, en France comme en Allemagne », explique Swantje Tomalak, la directrice du salon, le public est « à 80% féminin ».
Même constat à l’Association végétarienne de France. Sur Facebook, sa communauté est composée « à 80 % de femmes », souligne sa présidente, Élodie Vieille Blanchard. Elle ajoute : « la classe d'âge se situe entre 25 et 34 ans. Nos données révèlent que les végétariens sont en majorité des femmes, jeunes, vivant dans un cadre plutôt urbain. » Une population jeune et dynamique donc. Connectée, citadine, et qui utilise largement les réseaux sociaux pour s'informer ou relayer les informations.
Toutefois, la population n'est pas forcément élitiste : « le végétarisme est un régime alimentaire ouvert et accessible à tous (…) Les gens peuvent encore manger du fromage, du lait, par exemple. C'est moins excluant et radical que le véganisme qui va plus loin dans la démarche », explique Swantje Tomalak. Ni élitiste ni trop cher : « les magasins bio et grandes surfaces développent des rayons entiers pour les personnes végétariennes. C'est un régime alimentaire qui reste accessible aux petits budgets », affirme Swantje Tomalak. Bref, une nouvelle communauté végétarienne française est en train d'émerger, cool, connectée et un rien branchée.
Contre toute attente, le végétarien français se fond dans « une population hétérogène », peut-on lire dans madame.lefigaro.fr : des seniors, des jeunes, des étudiants, de jeunes actifs, des familles, des couples avec enfants… Malgré tout, une constante persiste : les femmes sont surreprésentées. Si « on ne peut pas parler de prototype de personne vegan ou végétarienne, en France comme en Allemagne », explique Swantje Tomalak, la directrice du salon, le public est « à 80% féminin ».
Même constat à l’Association végétarienne de France. Sur Facebook, sa communauté est composée « à 80 % de femmes », souligne sa présidente, Élodie Vieille Blanchard. Elle ajoute : « la classe d'âge se situe entre 25 et 34 ans. Nos données révèlent que les végétariens sont en majorité des femmes, jeunes, vivant dans un cadre plutôt urbain. » Une population jeune et dynamique donc. Connectée, citadine, et qui utilise largement les réseaux sociaux pour s'informer ou relayer les informations.
Toutefois, la population n'est pas forcément élitiste : « le végétarisme est un régime alimentaire ouvert et accessible à tous (…) Les gens peuvent encore manger du fromage, du lait, par exemple. C'est moins excluant et radical que le véganisme qui va plus loin dans la démarche », explique Swantje Tomalak. Ni élitiste ni trop cher : « les magasins bio et grandes surfaces développent des rayons entiers pour les personnes végétariennes. C'est un régime alimentaire qui reste accessible aux petits budgets », affirme Swantje Tomalak. Bref, une nouvelle communauté végétarienne française est en train d'émerger, cool, connectée et un rien branchée.
