Prendre un repas avec ses parents, entretenir ses relations avec ses amis, ou passer moins de temps devant un écran. En substance, voilà des exemples qui contribueraient à rendre les enfants heureux. C’est la coach de vie britannique, Tanith Carey qui les rapporte dans madame.lefigaro.fr. Pour ce faire, elle s’est basée sur un tas de conclusions issues d’études scientifiques, notamment menées en Grande-Bretagne. Surtout, ses conclusions sont loin d’être tirées par les cheveux. Elles font plutôt preuve de bon sens.
Ainsi, certaines habitudes familiales favoriseraient le bien-être des enfants. Tanith Carey, auteur de livres sur la parentalité, revient dessus, dans un article publié dans le quotidien britannique The Telegraph. Ce qui est valable pour les petits Anglais, l’est aussi pour les petits Français. Par exemple, de diminuer le temps passé devant un écran, voire des écrans. Aujourd’hui, selon l’Ipsos, en France, les enfants âgés de 4 à 14 ans, « passeraient en moyenne trois heures par jour devant un écran », rapporte la journaliste du Figaro, Ophélie Ostermann, auteur de l'article.
Regarder un écran, retarderait ainsi le moment de l’endormissement, surtout quand cette « activité » se déroule avant d’aller se coucher. En effet, « un signal paradoxal est envoyé à l’organisme : on lui dit qu’il faut être éveillé au moment où on cherche le sommeil », explique au Figaro, la neurobiologiste Joëlle Adrien. Comme de bien entendu, le manque de sommeil ne contribue pas au bien-être de l’enfant. Il « entraîne fatigue, irritabilité, difficultés de concentration et d'apprentissage », peut-on lire dans Le Figaro. D’où la nécessité de mettre en place des « no-go zones de la high tech » selon l’expression de Noel Janis-Norton, autre coach familial britannique.
Avant la « no-go zone », il est aussi important de s’asseoir et de dîner avec son enfant. Ainsi, selon une étude britannique datant de 2013, « les enfants qui prenaient leur repas avec les autres membres de leur famille souffraient moins de problèmes émotionnels et comportementaux. » En gros, cela les rassure. Mieux, cela « leur donne davantage confiance en eux » selon le site du Figaro. C’est en effet l’occasion de partager, de discuter et donc, de renforcer les liens au sein de la famille. Dans tous les cas, « le temps passé en famille apporte une base solide à l'enfant, lui permettant entre autres, de se construire et se développer correctement. »
En dehors de la famille, l’amitié est un facteur équilibrant. Ainsi, la « sociabilité fait partie intégrante du développement mais aussi du bien-être de l'enfant, renforçant par la même occasion l'envie d'aller à l'école. » Pour autant, il est important que les enfants comprennent qu’ils en sont acteurs. Résultat, explique la coach Tanith Carey, s’il comprend « que c’est un choix, il gagne confiance en lui. » Enfin, les sociétés occidentales ont tendance, selon l’UNICEF, à favoriser un « consumérisme compulsif » chez les enfants. Il est donc important qu’ils sachent apprécier ce qu’ils ont.
Ainsi, certaines habitudes familiales favoriseraient le bien-être des enfants. Tanith Carey, auteur de livres sur la parentalité, revient dessus, dans un article publié dans le quotidien britannique The Telegraph. Ce qui est valable pour les petits Anglais, l’est aussi pour les petits Français. Par exemple, de diminuer le temps passé devant un écran, voire des écrans. Aujourd’hui, selon l’Ipsos, en France, les enfants âgés de 4 à 14 ans, « passeraient en moyenne trois heures par jour devant un écran », rapporte la journaliste du Figaro, Ophélie Ostermann, auteur de l'article.
Regarder un écran, retarderait ainsi le moment de l’endormissement, surtout quand cette « activité » se déroule avant d’aller se coucher. En effet, « un signal paradoxal est envoyé à l’organisme : on lui dit qu’il faut être éveillé au moment où on cherche le sommeil », explique au Figaro, la neurobiologiste Joëlle Adrien. Comme de bien entendu, le manque de sommeil ne contribue pas au bien-être de l’enfant. Il « entraîne fatigue, irritabilité, difficultés de concentration et d'apprentissage », peut-on lire dans Le Figaro. D’où la nécessité de mettre en place des « no-go zones de la high tech » selon l’expression de Noel Janis-Norton, autre coach familial britannique.
Avant la « no-go zone », il est aussi important de s’asseoir et de dîner avec son enfant. Ainsi, selon une étude britannique datant de 2013, « les enfants qui prenaient leur repas avec les autres membres de leur famille souffraient moins de problèmes émotionnels et comportementaux. » En gros, cela les rassure. Mieux, cela « leur donne davantage confiance en eux » selon le site du Figaro. C’est en effet l’occasion de partager, de discuter et donc, de renforcer les liens au sein de la famille. Dans tous les cas, « le temps passé en famille apporte une base solide à l'enfant, lui permettant entre autres, de se construire et se développer correctement. »
En dehors de la famille, l’amitié est un facteur équilibrant. Ainsi, la « sociabilité fait partie intégrante du développement mais aussi du bien-être de l'enfant, renforçant par la même occasion l'envie d'aller à l'école. » Pour autant, il est important que les enfants comprennent qu’ils en sont acteurs. Résultat, explique la coach Tanith Carey, s’il comprend « que c’est un choix, il gagne confiance en lui. » Enfin, les sociétés occidentales ont tendance, selon l’UNICEF, à favoriser un « consumérisme compulsif » chez les enfants. Il est donc important qu’ils sachent apprécier ce qu’ils ont.